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Julie et Mathieu 1 : Mas provençal

Julie et Mathieu forment un couple très libertin, et c'est après quelques échanges que nous décidons de réaliser tous trois un scénario quelque peu original. Julie passera un week end endiablé avec moi à la seule condition de faire profiter Mathieu de nos ébats en live par webcam ou sms interposés. Le jeu sera plaisant, je n'en doute pas, outre le plaisir immense de contenter la délicieuse Julie, j'avoue que cette petite pincée d'exhibitionnisme n'est pas faite pour me déplaire, ce sera pour moi une première fois que je me montre ainsi à un autre homme. Je dois vous dire que l'idée me plait plus que je ne l'aurais cru...

Je suis sur le quai de la gare TGV à Valence, le ciel est magnifique cette journée de juin sens l’été à plein nez. Julie est dans le train en provenance de Paris. Elle devrait arriver d’une minute à l’autre. J’ai un peu le trac, mais je ne me fais aucun souci je sais que la belle n’est pas farouche et nous n’avons eu aucune difficulté à sympathiser lors de nos nombreuses conversations téléphoniques. Mathieu et moi avons aussi eu l’occasion de discuter, très sympa lui aussi. J’ai demandé à Mathieu de préparer la valise de sa femme et d’y mettre quelques jouets que nous pourrions utiliser lorsqu’il nous matera par webcam interposée. Julie a pour consigne de s’habiller de façon printanière, petite robe fleurie, joli décolleté élégant et sans vulgarité, un petit string ficelle qui ne cache pas grand-chose et aucun soutien gorge. 

J’imagine déjà ces tétons pointer sous le tissu de sa robe. Et rien qu’à cette idée ma queue se fait frémissante. 30 minutes avant l’arrivée du train je lui ai envoyé un petit texto surprise : « je veux que tu enlèves ton string, là maintenant, pour ce faire interdiction de te lever de ton siège ». Julie a du être surprise par mon sms, j’espère qu’elle aura eu suffisamment de culot pour le faire, et puis si elle ne le fait pas, j’espère au moins que l’idée l’aura fait mouillée.

Ça y est le train est annoncé, il approche, je le vois entrer en gare. La rame s’arrête. De nombreuses personnes s’apprêtent à monter dans le train, peu en descendent, je n’ai donc aucun mal à voir Julie et sa démarche féline s’approcher de moi. Son visage arbore un sourire radieux. Je lui souhaite la bienvenue en lui faisant trois bises (ici c’est le tarif), j’en profite pour poser l’une de mes mains sur sa hanche. J’imagine déjà le contact de nos deux corps l’un contre l’autre, ce sera bon… je crois que Julie viens d’avoir la même pensée que moi. Elle me glisse à l’oreille, « vivement que nous soyons chez toi ».

Une fois dans la voiture, je lui demande si elle a suivi toutes mes consignes. Julie me jette un regard espiègle en me disant « tu n’as qu’à juger par toi-même ». Je ne me fais pas prier. Je pose ma main sur sa cuisse, sa peau arbore un teint de miel, d’un geste lent et assuré je remonte vers le haut. Et une fois arrivé je constate qu’aucun tissu ne sépare son sexe de ma main. Mes doigts trouvent rapidement le chemin de sa vulve, ses lèvres sont ourlées de désirs et sa fente juteuse à souhait. Aucun doute, ce sms l’a bien excitée. Julie ferme les yeux et commence à produire quelques murmures très excitant. Je m’arrête là, je tâche de retrouver mon calme sans quoi je n’arriverai jamais à la conduire jusque chez moi. Je lui demande d’écarter les jambes et de remonter sa robe le plus haut possible, « écarte encore… voilà, c’est très bien ma belle ». Et sur ce je prends une petite photo avec mon téléphone portable que j’envoie aussitôt à Mathieu avec un petit texte « ta petite chatte est bien arrivée ».

C’est alors que nous nous mettons en route, Julie sur le trajet me raconte comment pour ne pas me décevoir elle a du enlever son string sans quitter son siège avec une petite vieille assise à côté d’elle. En me parlant de ses gesticulations et du regard outré de la petite dame, nous éclatons tous les deux d’un rire franc et contagieux. Après une petite heure de route, nous arrivons à destination. La discussion va bon train, comme si nous nous étions toujours connu. Je me dis que cette femme a beaucoup de charme et que décidément Mathieu est un homme chanceux. Depuis que nous nous sommes mis à parler je n’arrête pas de jeter des coups d’œil à ses tétons qui soulèvent le tissu de sa robe. A tel point que Julie fini par me demander si je suis si pressé de les découvrir. Je lui réponds qu’aucun doute la dessus je suis encore plus pressé de les mordiller.

Et là coup de bluff, Julie se met à ôter de ses épaules chacune des bretelles qui retient sa robe par le haut et découvrent ses seins pour mon plus grand plaisir. Je suis ébloui, qu’ils sont beaux, d’un bruns chaud, une texture rugueuse, leurs pointes se dressent fièrement. Julie toujours rieuse me dit « attention tu vas finir par nous mettre dans le fossé ». « Tu as raison, il vaut mieux que je ne te regarde plus » Après ses paroles Julie commençait déjà à esquisser le geste de les cacher à nouveaux. « non, non, non, laisse les prendre l’air de la drôme provençale, cela ne leur fera pas de mal ». Julie semble hésiter un peu, mais finalement se laisse aller à l’ambiance décontractée qui règne entre nous. Julie se sert cette fois de son mobile pour prendre une photo de son buste dénudé, Mathieu sera quitte pour un nouveau sms coquin du style « nous sommes sur la route, qu’est ce qu’il fait chaud dans cette voiture ! » .

Nous parcourons plusieurs kilomètres, nous croisons quelques camions qui nous abreuvent de leur appel de phare, une voiture nous double, côté passager une femme la cinquantaine, vu le mouvement de sa tête voulant rester à notre hauteur, nous devinons Julie et moi que la dame a trouvé la vue plus que surprenante. Et nous voilà à nouveau pris d’un grand fou rire.

Nous approchons de la maison, un petit mas isolé dans la Drôme provençale. Une fois passé le col, Julie découvre une vue magnifique, des champs de lavandes nichés au creux d’un petit vallon.

Nous arrivons dans ma maison, Julie a remis sa robe correctement. La maison est isolée entre les champs de lavande, aucun voisin aux alentours. Je fais faire le tour du propriétaire. Julie veut absolument prendre une photo des contreforts alpins et des lavandes qui entourent la maison. 

L’air est chaud en cette fin de matinée, le soleil brille et les couleurs du paysage sont flamboyantes. Julie est concentrée derrière son appareil photo. Je m’approche d’elle, pose mes mains sur ses hanches, rapproche mon bassin de son cul et lui susurre à l’oreille de me donner cet appareil photo. Une fois l’appareil en main, commence une petite séance. L’ambiance est à la légèreté, Julie est un modèle superbe et quel cul ! Les poses sont sexy à souhait, Julie sait y faire pour se rendre désirable, ma queue n’a pas mis longtemps à se dresser et mon pantalon me semble tout d’un coup bien étroit. A croire que le soleil monte à la tête de Julie elle veut à tout prix goûter tout de suite à ma queue. Je refuse, c’est trop tôt et puis je veux rester maître du jeu. Pourtant elle insiste, elle se fait cajoleuse, elle me dit « s’il te plait juste un peu… pour faire plaisir à Mathieu, pour qu’il voit comme ta queue me va bien lorsque je la suce… » Je cède, comment résister à une si jolie garce ? Elle se met à dégrafer mon pantalon et prendre ma queue entre ses lèvres, sa langue parcourt mon gland, ma queue disparaît, puis réapparaît. Évidemment, l’appareil photo toujours en main mon numérique ne manque rien de cette pipe improvisée. Et finalement heureusement que je me suis raccroché à mes fonctions de reporter sans quoi la belle coquine m’aurait fait craquer plus rapidement que je ne l’aurais souhaité !! Après quelques minutes d’une fellation copieusement exécutée, je prends mon mobile et envoie à Mathieu une photo du visage de Julie montrant sa langue titillant mon gland et je signe « j’espère que ma queue te plait, en tout cas elle plait à ta délicieuse épouse». Sur cet entrefaite, je fais cesser le petit jeu de Julie qui mime une moue boudeuse en me gratifiant ensuite d’une sourire franc et charmeur. « Tout à l’heure Julie ne soit pas impatiente, c’est encore trop tôt ».

L’heure de l’apéritif approche, je laisse Julie sur la terrasse avec l’ordinateur portable. Elle profite des derniers rayons du soleil pour envoyer l’ensemble des photos que nous venons de prendre à Mathieu et en profiter pour tchater un peu avec lui.

J’en profite pour préparer le diner de ce soir. Nous avons de la chance la chaleur ne se dissipe pas. Nous pourrons diner sous la treille muscate aux chandelles. Au menu, mousse de thon au romarin, fine ravioles grillées et poulet aux girolles, le dessert bien sur, fondant au chocolat. Un vin : champagne rosé. Je veux que Julie soit ma reine ce soir. Le repas se passe de la plus agréable manière, nous discutons chaleureusement, évoquons nos vies respectives, son amour pour Mathieu, les rencontres faites au hasard de la vie.
A la fin du repas nos lèvres se rejoignent. Nos baisers sont doux et nous emportent dans une petite bulle. Nous nous orientons vers la chambre, nous branchons la webcam, Mathieu est là il nous attendait. Nous lui faisons de grand sourire et reprenons notre baiser. Je me mets à lécher le sexe charnu de Julie, quel délice, ma langue s’attarde longuement, mes doigts prennent parfois le relais. De temps en temps nous varions la position de la webcam, d’abord le visage de Julie, ensuite ma langue entre ses cuisses, mes lèvres aspirant les tétons de Julie. Julie veut montrer à Mathieu comme ma queue est bien dure. Elle caresse mes bourses, et commence à lécher mon gland. Sa main se perd entre mes cuisses et son doigt échoue sur ma petite rosette. Elle me caresse. C’est bon. Je lui demande de me lécher de la queue à mon cul. C’est divin. J’aperçois Mathieu sur l’écran du PC il se branle, le spectacle doit lui plaire, le spectacle me plait. Je perds ma prise sur les évènements. Julie me demande de me mettre à quatre pattes. Je m’exécute sans attendre. Elle place la webcam derrière mon cul, Mathieu doit avoir une superbe vue de mon cul et de mes bourses. Julie m’écarte les fesses et introduit plusieurs doigts en moi. Je pousse un râle. Elle prend dans son sac son gode ceinture. Me demande de le lécher pour l’humecter un maximum, je lui demande alors de le mettre en elle pour que je puisse à nouveau gouter à son nectar alors que je sucerais cette queue factice. Je n’ai jamais sucé de queue, je me surprends à imaginer que c’est celle de Mathieu que je lèche après qu’il l’ait introduite dans l’intimité de Julie. C’est bon. Julie reprend les choses en main et s’harnache de cet outil de plaisir. Elle me pénètre lentement puis peu à peu augmente le rythme et l’étendue de la pénétration. C’est là encore une première fois. J’adore. Je vois ma queue qui sécrète un liquide de plus en plus abondant et qui tombe en filet sur le lit.

Au bout de quelques minutes, Julie se retire, c’est à moi de la satisfaire cette fois. Je ne me fais pas prier. Je l’embrasse comme un fou, lui mordille fougueusement les seins, je caresse sa chatte, complètement inondée de sa mouille. Elle est sur le dos, je pose mes mains entre ses jambes, les écarte et la pénètre rageusement. Je n’en peux plus, je tâche de me retenir mais les cris de Julie me font devenir fou, j’entends les paroles de Mathieu qui nous demande de jouir, que sa femme est belle ainsi chevauchée par ma queue. Julie se met à crier, c’est alors que je m’électrise. Je jouis. Je me convulse. Je m’étends sur le lit un sourire angélique aux lèvres. J’entends Mathieu qui souhaite de beaux rêves à Julie. La caméra est coupée. Julie se love contre moi et nous voilà parti pour une nuit féérique.


libertin18sept2_093

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