J'ai envie de vous prendre, de vous prendre là, tout de suite sur le champ, oui sur le champ, sans préliminaire. Vous embrasser fougueusement, rageusement, vous faire sentir comme ma queue est dure. Elle est chaude, bouillante et douce à la fois. J'aimerais que votre main se pose dessus, ressentent les veines palpitantes, la chaleur qu'elle dégage, cette étrange douceur qui me donne parfois l'envie de vouloir sucer mon propre sexe... oui j'aimerais sentir votre main sur ma queue, m'approcher de vous alors que vous êtes occupée à autre chose, vous prendre la main et la poser sur mon sexe, vous surprendre. Et alors le déchaînement pourrait commencer. Un seul regard et vous adopteriez la position qui convient parfaitement à mes envies animales. A quatre patte, le cul bien en évidence, le cul et la chatte comme une invitation à être baiser, à être travaillée, prêtrie, déchirée, étirée. Vous seriez prête à m'accueillir, prête à être saillie comme une jolie chienne en chaleur. Je me jetterai sur vous, j'entendrai vos cris, votre premier cri surprise d'une telle rapidité, les cris suivants, des cris saccadés par la violence des assauts, des cris incessants, fou d'ivresse. Et votre chatte coulerait à nouveau à flot. Je planterai mes doigts dans votre chair, malmèneraitvotre cul, des coups de boutoirs et des claques, encore des claques à la volée, pour vous montrer comme je vous chevauche, pour que vous cédiez totalement à mes assauts décadents et dominateurs. Encore me diriez vous! ENCORE, putain que c'est bon, oui c'est bon de vous dominer ainsi, de vous rendre femme, consentante, demandeuse, quémandeuse. A chaque va et vient vos genoux glisseraient sur le sol, une position de moins en moins confortable, mais qu'importe dans ces cas là on n'a envie que d'une chose, prendre le plaisir comme il vient, prendre et se faire prendre au piège des jeux incendiaires. Viendrait enfin le moment de ma jouissance, et cette fois c'est votre visage que serait pris d'assaut, votre bouche sans ménagement, violence de la pénétration, violence et perdition. Enfin mon foutre répandu en longues giclées sur votre visage dévasté. Je vous lècherai ensuite pour vous rendre ma semence dans un baiser en guise de point final. Et vous aimeriez, et j'aimerais cela.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
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