Je l'avoue sans honte car c'est un plaisir tout à fait avouable, j'aime quand mes mots raisonnent ailleurs. Et visiblement cet instantané là a secoué l'imagination de l'Ange Solaire et a créé un écho auquel je n'avais pas songé. Cet instantané était un prolongement offert à ma très chère captive. Elle a aimé, j'ai aimé.
Une autre a aimé, et cet instantané a pris depuis une autre forme et est devenu un autre prolongement, celui de l'imagination de l'Ange Solaire. Aimerez vous ?
Avant de vous livrer l'écho de l'Ange Solaire dans son intégralité, je voulais vous dire qu'une amie m'a dit que pour elle j'avais écrit ce texte "comme on se branle". Je crois qu'elle a tout à fait raison. Il me fallait un exutoire, il me fallait évacuer toute cette pression, j'avais envie de baiser, j'avais envie d'expulser ce trop plein, ce fut tout le plaisir des mots offerts à ma captive. Croyez vous que l'Ange Solaire a elle aussi écrit cet écho "comme on se branle" ?
Une autre a aimé, et cet instantané a pris depuis une autre forme et est devenu un autre prolongement, celui de l'imagination de l'Ange Solaire. Aimerez vous ?
Avant de vous livrer l'écho de l'Ange Solaire dans son intégralité, je voulais vous dire qu'une amie m'a dit que pour elle j'avais écrit ce texte "comme on se branle". Je crois qu'elle a tout à fait raison. Il me fallait un exutoire, il me fallait évacuer toute cette pression, j'avais envie de baiser, j'avais envie d'expulser ce trop plein, ce fut tout le plaisir des mots offerts à ma captive. Croyez vous que l'Ange Solaire a elle aussi écrit cet écho "comme on se branle" ?
Ah, j'ai failli oublier, l'Ange Solaire cherche un moyen de se faire pardonner... (je ne dirai pas auprès de qui, ni pourquoi) avez vous quelques suggestions à lui proposer ? Faites marcher votre imagination, vous avez une page blanche pour cela !!! Sourires taquins. Bonne lecture à vous. Et encore merci de votre présence ici.
Echo
Il y a d'abord eu votre parfum qui a chatouillé ma narine. À peine une fraction de seconde plus tard, il y a eu votre poitrine dans mon dos, puis vos mains sur mes hanches. Qui sont rapidement remontées sur ma poitrine. C'est là que vous m'avez attirée contre vous. Brusquement. En laissant échapper ce soupir de désir qui m'a ouvert comme une fleur... Vous n'avez rien dit, mais j'ai entendu... "Je veux te baiser..." En écho, en réponse à votre envie, mon désir s'est animé.
Vous avez guidé ma main jusqu'à votre sexe. La fermeté de votre désir pour moi m'a émue. Je l'ai senti palpiter sous mes doigts, ce désir, cette envie qui vous prenait au ventre... Et j'ai eu envie que vous me preniez, là, tout de suite...
J'ai dû le penser si fort... Comme si vous aviez entendu cette supplication que je vous adressais intérieurement, vous m'avez agenouillée devant vous. Pouviez-vous sentir l'envie qui grondait au fond de moi? Pouviez-vous deviner l'orage qui tonnait dans mon ventre... Ma croupe, ma chatte, mon cul... Comme une invitation.
Un cri étouffé... Votre sexe, planté au fond de moi. Vos doigts, plantés dans ma chair. Envies animales, soupirs qui se muent rapidement en râles. Respiration hachée au rythme imposé par vos reins. Possession sauvage. Ivresse...
Je ne sais plus très bien si ce sont vos assauts, le fait de savoir que vous ne contrôliez plus rien ou l'idée de me savoir vôtre, chienne - tout ça à la fois, probablement - mais l'orgasme qui m'a secouée alors m'a fait perdre le contact avec la réalité.
J'ai senti votre plaisir éclater en jets chauds sur ma peau, que vous avez léchés pour partager avec moi, en un baiser passionné, les fruits de votre jouissance... Vous avez aimé. Et j'ai aimé cela...
Vous avez guidé ma main jusqu'à votre sexe. La fermeté de votre désir pour moi m'a émue. Je l'ai senti palpiter sous mes doigts, ce désir, cette envie qui vous prenait au ventre... Et j'ai eu envie que vous me preniez, là, tout de suite...
J'ai dû le penser si fort... Comme si vous aviez entendu cette supplication que je vous adressais intérieurement, vous m'avez agenouillée devant vous. Pouviez-vous sentir l'envie qui grondait au fond de moi? Pouviez-vous deviner l'orage qui tonnait dans mon ventre... Ma croupe, ma chatte, mon cul... Comme une invitation.
Un cri étouffé... Votre sexe, planté au fond de moi. Vos doigts, plantés dans ma chair. Envies animales, soupirs qui se muent rapidement en râles. Respiration hachée au rythme imposé par vos reins. Possession sauvage. Ivresse...
Je ne sais plus très bien si ce sont vos assauts, le fait de savoir que vous ne contrôliez plus rien ou l'idée de me savoir vôtre, chienne - tout ça à la fois, probablement - mais l'orgasme qui m'a secouée alors m'a fait perdre le contact avec la réalité.
J'ai senti votre plaisir éclater en jets chauds sur ma peau, que vous avez léchés pour partager avec moi, en un baiser passionné, les fruits de votre jouissance... Vous avez aimé. Et j'ai aimé cela...
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