Il y a quelques mois, chez la regrettée et
séduisante Effrontée, la miss nous avait prêté sa plume pour remplir sa
page (je suis certain qu'Emma s'en souvient). Alors aujourd'hui c'est
page blanche ! Je vous tends la plume à vous de remplir cette page de
tout ce qui vous passe par la tête. Faites preuve d'esprit libre... et
surtout si vous n'avez fait que lire ici, je vous invite vous, lecteurs
ou lectrices silencieux a, cette fois, prendre les devants. Allez... et
que ça swing ! Rires.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
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