Mon cher Maître chéri
Allez comprendre, j'ai besoin de Vous écrire.
Peut-être parce que je viens de passer quelques heures à lire des
textes superbes qui m'ont rappelés quelles merveilleuses sensations
vous éveillez en moi? Peut-être ais-je digéré des choses entendues à
Votre sujet qui m'ont touchées? Peut-être que le souvenir de Votre
image, certains moments samedi soir, ne sont finalement pas si amers
que cela, après coup (oh! que ne donnerais-je pour une fessée, pour des
coups de Vous en cet instant!).
Vous avez raison. Moins on en sait mieux c'est...
Vous avez souvent raison, et j'ai pu mesurer à quel point ces derniers jours Votre plaisir à me soumettre et le mien à vous offrir mon âme et mon corps font de moi une créature désirable et puissante. Merci de m'aimer si bien.
Je voulais aussi Vous demander pardon d'avoir
contré votre ordre quant à ce type, ce même type que j'ai déjà refusé
d'approcher sous les ordres d'un autre. Même si je suis Votre chienne,
Votre pute docile, je ne peux me contraindre à me manquer de respect.
Je fais confiance à mon instinct.
Alors merci mon Maître, mon doux Maître de
m'avoir comprise, rassurée, écoutée. Vous savez si bien me tenir,
malgré mes provocations et mes doutes. Je mesure le chemin parcouru
sous Votre coupe et réalise que je suis loin d'être une soumise digne
de ce nom. La patience me manque souvent, Vous le savez et pourtant je
l'apprends, je m'y réconforte même doucement et assurément dans
l'espoir de Vous satisfaire toujours plus.
J'aimerais être à vos pieds ce soir, dans un
petit coin feutré, sans parasites alentours, Vous offrir mon impudeur
et ma fougue. Vous embrasser chaque orteil, chaque parcelle de Votre
peau, remonter vers Votre glaive et m'étouffer avec. Je voudrais Vous
tendre ma croupe avide de Vos coups de queue et implorer la déchirure
de mes entrailles.
Oh! Mon Maître, quel sentiment terrible dont
je me croyais encore à l'abri m'envahit. Je suis en manque de Vos
ordres, de Vos mots à mon oreille. En manque de Vos yeux satisfaits sur
ma figure enragée de salope. J'implore en silence le temps qui s'écoule
loin de Vous de filer plus vite et me permettre de couler bientôt sous
Vos doigts fouillant ma chatte brulante.
Je suis folle d'excitation ce soir encore et
je me demande naïvement si cette sensation sera plus forte chaque jour,
si je saurai Vous honorer encore davantage. Je retiens mes mains
appelées par mon sexe gonflé, compressé entre mes cuisses serrées,
attendant fébrilement un moment de solitude, demain surement, pour
filmer ma jouissance comme Vous me l'avez ordonné. Je retiens mes mains
et mes fantasmes puissants ravageant ma pudeur et ma frustration est
jouissive malgré l'attente de Vous plaire, de Vous gâter de mes charmes
de putain docile.
Je Vous désire si fort.
Bien à Vous.
Votre chienne soumise
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