Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
Et tu penses que ce monde virtuel aide à être moins timide ?
RépondreSupprimerIl peut faire grandir un peu en tout cas. Du moins si l'on parvient à prendre un peu de recul.
SupprimerUn peu moins, en fait.
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il peut me falloir des années avant d'en dire un tout petit peu plus.
SupprimerUn poil moins timide. Un poil seulement.
RépondreSupprimerOui, ben ça va, hein, c'est pas la peine de faire remarquer à tout le monde que je ne m'épile pas ! :p
Supprimer:) c'est mignon un homme timide. ça donne l'impression d'être à égalité. Pour un temps au moins ;)
RépondreSupprimerPour un temps, depuis quelque jour, je sors tout nu dans la rue. Fini la timidité !
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