10 avril 1929
[…] La vraie raison : c’est que je t’aime et que je rêve d’être avec toi. La première nuit, je te ferai trois fois l’amour. Et je te veux nue toute la nuit. Je vais me branler en pensant à toi. Et j’en ai assez du reste, je ne veux que toi. Si je t’aime, c’est faire l’amour que je veux, terriblement. Et te tenir dans mes bras, te lécher partout, t’écraser, te faire plus légère que tout, plus mouillée, plus chaude, plus molle et plus dure que tout. Ma langue est tout entière dans ta bouche, dans ton sexe, mon sexe te pare de sperme. Tu en as sur les mains, sur le ventre, sur les seins sur ton visage follement vivant, et nous recommençons à nous caresser, à nous embrasser, à nous perforer. Je veux t’aimer plus que jamais.
Ma Gala, je fais ici l’amour très souvent, trop. Mais que ne donnerai-je pour passer une nuit avec toi. Tout.
[…] Sois toujours, sans arrêt, belle et troublée.
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