Regarde moi petite salope. Tais toi. Ne fais pas de bruit. J'ai une main dans ton con, l'autre sur ta bouche. Ne fais pas de bruit. Quoi ? Tu ne veux pas ?? Mais je n'en ai rien à faire. Je vais te baiser et tu vas mouiller. Ça va se passer comme je te le dis. Tu ne voudrais pas réveiller ton mari pendant que je te baise le cul et la chatte. Tu ne voudrais pas qu'il voit comment tu te trémousse pendant que je te fourre. Tu ne voudrais pas qu'il puisse voir comme il est cocu. Alors Tais toi et écarté tes jambes. Voilà. C'est mieux.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
Hehehe très vilain. Difficile de ne pas faire un bruit...
RépondreSupprimerEt si savoureux...
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