Les âmes vibrent, vont, viennent vêtues d'ombres
Autant de forêts cachées, de ruisseaux, de vires
De champs à fleurir, de contes et de nuits noires
De traces invisibles, de pas qu'on devine
Sur sa nuque, mes doigts ont ancré sa peau tiède
Sous nos yeux, le voyage puis l'oubli des armes
Plus loin encore, le sang battant cavalcade
Tous amant au lointain, jouissant de mille charmes
Mille morts, mille vies, mille mots, mille eaux
Commentaires
Enregistrer un commentaire