Invisible Presque invisible sur le sol rugueux et crème de ma douche italienne. Avant de tout effacer j’écris cette phrase à l’encre de mon essence. Mon sperme. Blanc, laiteux, ou plutôt légèrement crème, vanille. Par ce parfum, je l’écris ailleurs aussi. Tu es née pour te faire baiser par mes soins. Faïence Sur la vieille faïence légèrement émaillée des années soixante aussi. Face à la chaîne des montagnes. Toujours à l’encre de mes désirs, dans le vase clos de ma salle de douche, sur la faïence terre chaude des rectangles irréguliers qui la murent. Parfois en quelques souffles je gémis mon plaisir profitant des frissons qui accourent. Après avoir lavé mon corps et pénétré mon cul. Parfois je cède à l’envie, je finis essoufflé, les jambes presque tremblantes, mon cul ouvert et plein de quelques centimètres de diamètre. Après avoir remplacé l’objet rouge secours, ce sont mes doigts qui fouillent mes chairs tendres, mes doigts qui aimeraient s’engouffrer davantage, étou