Bande son : Handel - Giulio Cesare in Egitto, HWV 17, Act II, scène XIII : Aria-largo "si pieta di me". Interprète : Sandrine Piau https://www.deezer.com/track/92369954 —----------- Bilbao. Au coeur del Cerco Viejo, tout proche de la Plaza Nueva, non loin del Nervion, il y a une petite rue, des odeurs légères et trainantes de tortillas, de chipirones frios, des éclats de voix, ceux des enfants qui jouent, ceux des adultes qui s'apostrophent dans le brouhaha tout proche, des bruits de vaisselles, celles que les serveurs lavent à la va vite avant de les remplir de pintxos gourmands et généreux. Franchir le passage, c'est se noyer dans le coeur battant de la ville, dans la foule et la vie sociale, l'alcool et les rires, le plaisir de l'instant et les amitiés braillardes. Restons en bordure. Au numéro uno de cette petite kalea servant de desserte à la dizaine de bar à pintxos de la Plaza, avant le chao des hommes, il y a une porte dont seul les rêveurs ont l
Vous devriez avoir un stock de lingettes pour bébé, c'est un détachant hyper efficace ;)
RépondreSupprimerrire!!
RépondreSupprimernon uniquement pour aller au pressing !
RépondreSupprimerSi vous n'êtes pas seul, cela peut devenir un jeu délicieux ...
RépondreSupprimerSi vous m'invitez à petit-déjeuner, toujours... :)
RépondreSupprimerDans chaque épreuve il y a qque chose de bon à prendre... (Yes man attitude ;-))
RépondreSupprimerregardez par exemple, la façon dans la fille du pressing vous a regardé, hmmm... peut-être même avez vous déjà racheté un filet d'oranges! ;-)
@ Gaïann : J'y penserai la prochaine fois, merci pour ce remède de maman.
RépondreSupprimer@ NoOsiCaa : je vais avoir froid si je m'y rend à poil.
@ Chilina : Oui, mais lorsque je mange une mandarine devant mon PC, en général je suis seul, sinon je ferai autre chose.
@ Ange Solaire : Je vous reconnais bien là, votre gourmandise vous trahira ;o)
@ Flow : Yeehhh Man
PS : c'est un Môssieur au pressing
Vous ne croiriez pas si bien dire... :/
RépondreSupprimerJe découvre ici une ambiance douce et sensuelle, j'en profite pour réagir sur le billet des oranges.
RépondreSupprimerQuand un modèle de costume me plait vraiment, j'en achète deux exemplaire et j'en range un dans mon bureau au cas ou.
A la moindre contrariété vestimentaire (cf: la dernière fois que Mademoiselle Zoè a renversé mon expresso sur ma veste, par exemple), je me change immédiatement.
Pour le coup de l'expresso, j'ai envoyé la maladroite au pressing avant de lui faire part avec un moyen approprié de ma forte contrariété !
@ Mister Jones : Si j'avais les moyens... en fait non, si j'avais les moyens je n'achèterais pas deux costumes identiques, je me contenterai de doubler le nombre de mes costumes tout en veillant à ce que chacun d'eux soit différent. Et si j'avais une Mademoiselle Zoé sous la main, plutôt que de me changer et de l'envoyer au pressing, je lui donnerai ma carte bleue pour qu'elle aille m'acheter sur le champ un nouveau costume. Ce serait un joli luxe.
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