Tu es là depuis une vingtaine de minutes à ton office. Le visage entre mes cuisses, tu me bouffes. Tu me bouffes les couilles. Aspire mes bourses. Pleines. Juteuses. Te joue de mes oeufs. Tu avais une terrible envie de sucer une queue m'as tu dit. Mais ce sont mes testicules que tu happes, que tu égrènes, que tu fais disparaître longtemps avant de les libérer en un fourreau qui les laisse échapper. Exposées à la fraîcheur de la nuit. La nuit étoilée des néons de la grande fête foraine toute proche. C'est de la menthe synthétique que ta bave répand entre mes cuisses et cette fraîcheur là qui accompagne mes râles. Mes râles sur la bordure de l'aine, mes râles sur la tendresse de la crête iliaque, mes râles sur la base de mon sexe, là où ta langue vient fouiller et appuyer contre la bordure de mon pubis, mes râles proches de mon cul que tu lapes comme une petite chienne baveuse, mes râles sur l'échancrure de mon gland enflé à se répandre en lourds crachats, mes râles en u...