Des mots qui s’accrochent, des lettres qui s’emboitent, des verbes qui prennent le pas.
Ils cheminent identiques, espoir de ces petits bouts de phrases.
Des mots comme des caresses. Des éclats de vous, des morceaux de moi.
Un puzzle éparpillé que chacun s’essaie à assembler.
Recherchant des bribes d’elle, quêtant des lumières d’être.
Un portrait impossible, toujours incomplet, un reflet fractionné, un miroir cuivré.
Multitudes de pièces s’assemblant sans cesse, vision d’âmes en friches jamais reconstruites.
Empreinte, cuir. Violine, concentrée. Parfum, musqué. Sueur, salée. Liqueur, acre.
Homme porcelaine, blanc, vierge, réfléchissant, mouvant.
Modelé par celle qui de l’autre côté, à sa guise me fait être.
Amant, vertueux, attirant, traitre, amical, animal, passionné, présent, romantique, galant, père, néant.
Au néant, je réponds d’une main tendue, je ne sais pas qui est celui qui donne cette main, je sais qui la tient.
Vous. Femmes, céramiques de failles, raku créé par magie.
Equilibre de fumée, nuage d’eau, poignée de terre comme de feu.
Multiples et unes. Mystérieuses. Vous, aimant, et moi, ferré.
Imaginer vos larmes, c’est vouloir les remplir de bonheur.
Rêver votre corps, c’est vouloir m’offrir comme le posséder.
Toucher votre sein, caramel, dur, je fond.
Lire vos mots, c’est faire battre mon cœur.
Finalement je ne suis que d’air.
Murmurez, un peu d’air, éventez, un petit vent, soufflez, le mistral, claquez, la tempête.
Qui suis-je sinon votre propre reflet… ce n’est pas moi que vous voyez… c’est la pensée que vous désirez.
Ils cheminent identiques, espoir de ces petits bouts de phrases.
Des mots comme des caresses. Des éclats de vous, des morceaux de moi.
Un puzzle éparpillé que chacun s’essaie à assembler.
Recherchant des bribes d’elle, quêtant des lumières d’être.
Un portrait impossible, toujours incomplet, un reflet fractionné, un miroir cuivré.
Multitudes de pièces s’assemblant sans cesse, vision d’âmes en friches jamais reconstruites.
Empreinte, cuir. Violine, concentrée. Parfum, musqué. Sueur, salée. Liqueur, acre.
Homme porcelaine, blanc, vierge, réfléchissant, mouvant.
Modelé par celle qui de l’autre côté, à sa guise me fait être.
Amant, vertueux, attirant, traitre, amical, animal, passionné, présent, romantique, galant, père, néant.
Au néant, je réponds d’une main tendue, je ne sais pas qui est celui qui donne cette main, je sais qui la tient.
Vous. Femmes, céramiques de failles, raku créé par magie.
Equilibre de fumée, nuage d’eau, poignée de terre comme de feu.
Multiples et unes. Mystérieuses. Vous, aimant, et moi, ferré.
Imaginer vos larmes, c’est vouloir les remplir de bonheur.
Rêver votre corps, c’est vouloir m’offrir comme le posséder.
Toucher votre sein, caramel, dur, je fond.
Lire vos mots, c’est faire battre mon cœur.
Finalement je ne suis que d’air.
Murmurez, un peu d’air, éventez, un petit vent, soufflez, le mistral, claquez, la tempête.
Qui suis-je sinon votre propre reflet… ce n’est pas moi que vous voyez… c’est la pensée que vous désirez.
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