Des baisers contre un mur, lorsque les corps se rejoignent, lorsque les
mains se mettent en route. Jupe relevée, dessous
écartés, le souffle devient court. Lorsque les langues se
chevauchent, lorsque les doigts caressent, prennent, griffent,
pénètrent et s'immiscent. Les regards se font vagues, le corps devient brulure. Lorsque le désir éclate, lorsque les amants
s'abandonnent en un seul et même cri déchainé, lorsque les gestes
deviennent brusques et doux, lorsque le mur disparait et que les âmes
s'unissent...
Encore... Embrasse moi encore...
Encore... je vous découvre gourmande... après le premier assaut, je glisse à vos pieds, écarte vos cuisses, contemple votre peau lisse et maculée de mon premier assaut. Vous devenez interdite. Impatiente. Vous savez que vous ne devez pas bouger, fébrile contre ce mur. Et moi, je vous regarde, vous détaille, pose une main sur votre cuisse gauche, l'autre à l'opposé sur votre hanche. Mon visage s'approche. Odeur, plaisante, invitante, je vous sens sans vous toucher. Puis enfin le contact que vous attendez se produit, ma langue glisse sur vos chairs, je vous déplie, vous parcours de bas en haut, je vous lèche, et vous fondez et vous rêvez d'impératives douceurs.
De haut en bas. Je vous déguste, lentement. Votre souffle reprend sa course, vos murmures, doucement, tout doucement. Je vous goûte, vous lape, vous rends incandescente. Vous devriez ne pas bouger mais je sens votre bassin qui ondule, légèrement d'abord, très légèrement, puis de façon beaucoup plus perceptible. J'introduis ma langue. La remplace par mes doigts, vous branle, plus fort, plus vite, ma langue légèrement plus haut. Et vos murmures se font plus audibles, plus graves... et je continue. Cette fois vous vous branlez littéralement sur mon visage. J'aime vous sentir. J'aime vous savoir délivrée. J'aime vous déchaîner. Et cette fois vos mains glissent dans mes cheveux. Vous m'invitez et moi je t'invite à l'abandon. Jouissez. C'est impératif !
Encore... Embrasse moi encore...
Encore... je vous découvre gourmande... après le premier assaut, je glisse à vos pieds, écarte vos cuisses, contemple votre peau lisse et maculée de mon premier assaut. Vous devenez interdite. Impatiente. Vous savez que vous ne devez pas bouger, fébrile contre ce mur. Et moi, je vous regarde, vous détaille, pose une main sur votre cuisse gauche, l'autre à l'opposé sur votre hanche. Mon visage s'approche. Odeur, plaisante, invitante, je vous sens sans vous toucher. Puis enfin le contact que vous attendez se produit, ma langue glisse sur vos chairs, je vous déplie, vous parcours de bas en haut, je vous lèche, et vous fondez et vous rêvez d'impératives douceurs.
De haut en bas. Je vous déguste, lentement. Votre souffle reprend sa course, vos murmures, doucement, tout doucement. Je vous goûte, vous lape, vous rends incandescente. Vous devriez ne pas bouger mais je sens votre bassin qui ondule, légèrement d'abord, très légèrement, puis de façon beaucoup plus perceptible. J'introduis ma langue. La remplace par mes doigts, vous branle, plus fort, plus vite, ma langue légèrement plus haut. Et vos murmures se font plus audibles, plus graves... et je continue. Cette fois vous vous branlez littéralement sur mon visage. J'aime vous sentir. J'aime vous savoir délivrée. J'aime vous déchaîner. Et cette fois vos mains glissent dans mes cheveux. Vous m'invitez et moi je t'invite à l'abandon. Jouissez. C'est impératif !
Photo empruntée une fois de plus à senserotica
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