Un certain nombre d'entre vous
se sont prêtés au jeu de la page blanche et je tenais à vous en
remercier de tout coeur. Il est donc temps de m'effacer aujourd'hui et
de laisser la place à F. qui a écrit ce possible pour remplir à sa
façon cette page blanche.
Je sais que je n'irai pas le rejoindre. Il attendait l'évidence, c'est à moi qu'elle s'est présentée.
Je ne prendrai pas le train. Nous ne passerons pas de l'autre côté du miroir.
Nous ne devons pas succomber à ce désir Instantané qui nous porte l'un vers l'autre.
La quête de ce Graal peut faire mal, le chant des Sirènes est une Symphonie aussi douce que dangereuse, et je ne veux pas jouer ce rôle-là, alors je préfère renoncer. je crains tellement qu'il ne puisse pas supporter les Reflets que lui présenterait le Miroir du lendemain. Les Peurs ont parfois le dessus sur les désirs...
Chaque jour, J'imaginais cette Approche. Chaque jour, je lui donnais un nouveau Cadre. Parfois, cette Première rencontre débutait par un "Débauchez-moi", lancé dans un soupir, dans un sourire, en écho à ces quelques mots que j'ai lus sur ses pages et qui m'ont tellement bouleversée.
Et je me voyais déjà, Indécente, Invasive, l'assaillant de Mes baisers, plongeant Dans ses soupirs, jusqu'à ce que la Flamme des bougies s'éteigne, jusqu'à ce que nos deux corps finissent par résoudre leur Théorème.
Il y avait aussi ce Réveil matinal, doux Supplice s'il en est, la tendresse en Cascade, le plaisir en cadeau, le délice en souvenir, et cet "Embrasse-moi encore" que je répétais inlassablement, défaillante sous les meilleurs baisers du monde, ceux échangés Contre les murs.
Quand je pense à ces chimères auxquelles nous pourrions donner vie, à ces Poussières d'étoile qui n'appartiendraient qu'à nous, à ce petit Cœur au creux des hanches que j'ai envie de voir battre, je sais.
Candide, peut-être, mais je sais. Je sais que j'irai. Un jour, une Nuit. C'est Impératif. Et puis... Je ne sais pas être raisonnable...
Je ne prendrai pas le train. Nous ne passerons pas de l'autre côté du miroir.
Nous ne devons pas succomber à ce désir Instantané qui nous porte l'un vers l'autre.
La quête de ce Graal peut faire mal, le chant des Sirènes est une Symphonie aussi douce que dangereuse, et je ne veux pas jouer ce rôle-là, alors je préfère renoncer. je crains tellement qu'il ne puisse pas supporter les Reflets que lui présenterait le Miroir du lendemain. Les Peurs ont parfois le dessus sur les désirs...
Chaque jour, J'imaginais cette Approche. Chaque jour, je lui donnais un nouveau Cadre. Parfois, cette Première rencontre débutait par un "Débauchez-moi", lancé dans un soupir, dans un sourire, en écho à ces quelques mots que j'ai lus sur ses pages et qui m'ont tellement bouleversée.
Et je me voyais déjà, Indécente, Invasive, l'assaillant de Mes baisers, plongeant Dans ses soupirs, jusqu'à ce que la Flamme des bougies s'éteigne, jusqu'à ce que nos deux corps finissent par résoudre leur Théorème.
Il y avait aussi ce Réveil matinal, doux Supplice s'il en est, la tendresse en Cascade, le plaisir en cadeau, le délice en souvenir, et cet "Embrasse-moi encore" que je répétais inlassablement, défaillante sous les meilleurs baisers du monde, ceux échangés Contre les murs.
Quand je pense à ces chimères auxquelles nous pourrions donner vie, à ces Poussières d'étoile qui n'appartiendraient qu'à nous, à ce petit Cœur au creux des hanches que j'ai envie de voir battre, je sais.
Candide, peut-être, mais je sais. Je sais que j'irai. Un jour, une Nuit. C'est Impératif. Et puis... Je ne sais pas être raisonnable...
Sourires...
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