J'aurais envie
de m'agenouiller devant vous, de faire tomber vos vêtements et de vous
prendre, tout entier, dans ma bouche... J'aurais envie de vous lécher
voluptueusement, que ma salive coule au coin de ma bouche, sur mon
menton, dans mon cou... J'aurais envie de vos mains dans mes cheveux,
pour tenir ma tête pendant que vous vous enfoncez dans ma gorge...
J'aurais envie de vos mains qui m'indiquent le rythme qui vous
convient... J'aurais envie de vous sentir vous crisper avant l'orgasme,
puis d'entendre votre plaisir... J'aurais envie de votre sperme qui
jaillit dans ma bouche et que je laisse couler entre mes seins, pour le
plaisir de le voir là... J'aurais envie de vous garder là, dans ma
bouche, pendant que votre sexe ramollit, parce que j'aurais encore
envie de votre plaisir...
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
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