J'ai envie de faire une folie et je n'ai pas envie
de m'en retenir. J'ai envie de laisser mon souffle accélérer à la
lumière du jour comme à l'éclat des lunes à venir. Folie douce que de
laisser les rêves s'emparer de nous, de moi, de vous. Je vous donne
rendez-vous. Je vous invite à me rejoindre au bord du fleuve. Remontez
le cours de l'eau jusqu'à vous échouer à mes pieds. Laissez vous porter
par le rythme des heures qui pourraient nous rapprocher.
Vous me trouverez dans cette chambre comme sur une rive lointaine. Peut-être vous y trouverais-je aussi, peut être pas. Peut-être y serez vous la première, peut être m'attendrez vous dans ma chambre. Je suppose qu'il vous suffirait de dire que vous êtes mon amie pour que sésame se fasse même en mon absence. Mon cœur battra la chamade lorsque les kilomètres me rapprocheront de cet instant, ma vue se troublera lorsque je foulerai le sol de cet hôtel, ma main tremblera lorsque je glisserai la clef dans la serrure, et mon cœur ne cessera de tambouriner lorsque je pousserai la porte pour peut-être vous découvrir.
Peut-être y serais-je le premier... et le seul. Peu m'importe, ne me dites pas si vous avez décidé de venir ou de ne pas venir. Ne me dites pas si vous pouvez venir ou si vous ne pouvez pas venir. Ne me dites rien à ce sujet avant que l'aube marquant la fin de ce rendez vous ne laisse place aux rayons d'un soleil d'automne que je veux radieux. Laissez l'intensité s'installer, laissez la vie nous emporter dans l'espoir de nos baisers. Laissez mon coeur battre au fil des jours et des heures qui s'écouleront. Laissez moi la chance de rêver que peut être vous viendrez. Rêvez avec moi, donnez-moi la main et peut être ouvrirai-je mes yeux ce jour là sur votre visage endormi et pacifié.
Vous me trouverez dans cette chambre comme sur une rive lointaine. Peut-être vous y trouverais-je aussi, peut être pas. Peut-être y serez vous la première, peut être m'attendrez vous dans ma chambre. Je suppose qu'il vous suffirait de dire que vous êtes mon amie pour que sésame se fasse même en mon absence. Mon cœur battra la chamade lorsque les kilomètres me rapprocheront de cet instant, ma vue se troublera lorsque je foulerai le sol de cet hôtel, ma main tremblera lorsque je glisserai la clef dans la serrure, et mon cœur ne cessera de tambouriner lorsque je pousserai la porte pour peut-être vous découvrir.
Peut-être y serais-je le premier... et le seul. Peu m'importe, ne me dites pas si vous avez décidé de venir ou de ne pas venir. Ne me dites pas si vous pouvez venir ou si vous ne pouvez pas venir. Ne me dites rien à ce sujet avant que l'aube marquant la fin de ce rendez vous ne laisse place aux rayons d'un soleil d'automne que je veux radieux. Laissez l'intensité s'installer, laissez la vie nous emporter dans l'espoir de nos baisers. Laissez mon coeur battre au fil des jours et des heures qui s'écouleront. Laissez moi la chance de rêver que peut être vous viendrez. Rêvez avec moi, donnez-moi la main et peut être ouvrirai-je mes yeux ce jour là sur votre visage endormi et pacifié.
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