Accéder au contenu principal

Born on 75

T’es un coquin toi ? Tu veux jouer au docteur ? Hmmmm… oui c’est ça, laisse toi faire.  Je vais t’ausculter. Ne crains rien, ma main est aussi douce que de la soie et aussi experte que celle d’Hendrix. Voilà, c’est bien, oui comme ça… Mais dis-moi !!! Qu’est-ce que tu es tendu !!! Je vais te détendre, ne t’en fais pas. Ca c’est ce que j’appelle un beau service. Je crois que je peux faire quelque chose pour toi. Franchement tu as de la chance d’avoir une voisine comme moi. En plus j’ai invité ma copine, elle te plaira. Hmmmmm, hmmmmm, ohhhhh…. Ouuuu il fait chaud ici. Je me déshabille, ça te dérange pas ?

Ding Dong… Ding Dong…

Ce doit être Joy, ne bouge pas Bradley, je vais lui ouvrir la porte.

(En aparté) Salut ma belle, tu es Ma gni fique ! Il faudra que tu me dises où est-ce que tu as trouvé ce beau bijou. C’est Robert qui te l’a offert ! (Gloussement). En tout cas, tu as bien fait de passer, Bradley est chaud comme de la braise. Toi aussi ? Alors c’est parfait, on va bien s’amuser.

Bradley, je te présente Joy. Bradley, 33 ans, Joy, 35 ans aujourd’hui.

Oui, t’en fais pas Bradley, on va fêter ça dignement. Regarde ce petit cul, je suis certaine que tu vas réussir à le faire crier de plaisir. Viens, approche… hmmm… voilà… comme ça… hmmm c’est bon… ahhhh…. Ooooohhhh. Hmmm Joy, qu’est ce que j’aime te lécher. Vas-y Bradley, te gênes pas, elle a l’air timide mais elle n’attend que ça, donne lui de quoi sucer… ahhhhhhhhhhhh… c’est bon, encore… oh oui…. Encore Joy… écarte bien… laisse moi faire… encore… hmmmmmmmmmmmmmmmm
4201750106_fc628b16f1_o
Montage Effelbee "Retro porn project"

Ça fait du bien de ne pas se prendre au sérieux ! Et si vous deviez imaginer un dialogue à partir de ce montage, vous diriez quoi ?

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

PornographieS

 Texte écrit pour le thème du mois de juillet 2024 "Pornographie" du groupe fetlife "Passion Écrire" ---------------- # Porno \pɔʁ.no\ Adjectif. Relatif à, qui appartient à la pornographie ou à l'extrême violence. Caractère obscène d'une oeuvre d'art ou littéraire. Nom masculin. Film pornographique ou d'extrême violence. Représentation (sous forme d'écrits, de dessins, de peintures, de photos, de spectacles, etc.) de choses obscènes, sans préoccupation artistique et avec l'intention délibérée de provoquer l'excitation sexuelle du public auquel elles sont destinées Porno vice, porno star, sur le canapé les yeux ébahis. Je veux voir. Voir ce qui ne se voit pas. Toujours regarder, sans plus cesser. Des hommes, des femmes, des cris et des râles, simulés, amplifiés, réels, au-delà de l'écran, le néant, l'anéantissement de toute volonté. Le néant qui dévore sans fin, qui te mène en bordure de toi, qui t'empare et te désempare. Panti...

Je veux sucer

 J’aimerais sucer ma bite. Elle est douce, sa taille est sobre, elle est chaude et la caresser fait fleurir en moi toujours une sorte de quiétude, d’abandon serein et parfois d’excitation fiévreuse. Elle tient dans le creux de ma main. Le pourtour du gland est délicatement ourlé, il prend de l’ampleur après avoir joui. Elle m’apparaît démesurée dans le désir plein, lorsque je ne veux qu'une chose, jouir à n’en plus pouvoir. À la base du gland, le frein est formé d’un amas de chair, tendre et malléable, héritage de l’enfance et de la circoncision tardive, petit amas de chair aux sensations fulgurantes. Queue sensible à la moindre émotion. Je me saisis parfois du frein et le tire pour emporter toute ma chair. L'entrée du conduit urétral est une invitation à fourrer une langue. Lorsque la fièvre me prend c'est mon petit doigt que je viens parfois fracasser dans mon gland, l’aplatissant par le haut. Forcer le passage n’est pas une veine masturbation, dans ce délire là, quand il...

Deux peaux

 Deux corps exténués par la longue journée de marche. Ils ne se sont pas mélangés sur le chemin, se frôlant par instant, se touchant par accident aussi, s’éloignant, se retrouvant, tanguant au gré des pas, pris par la houle du mouvement. Deux corps, deux êtres singuliers, différents, se reconnaissant sans trop de mots et se trouvant par instant, se rapprochant pas après pas, le temps s’écoule en nuages, en pluie, en forêt d’eucalyptus, en chatagnier séculaire, en paroles confiées, en moments de vérité. La pluie tombe, sous l’abri, ils se plongent, prennent soin dans l’allongement du jour, l’un de l’autre. Del cielo cae agua. Lluvia poderosa. Lavame lamente con agua fria. Y saca la pena de mi memoria. Deux corps l’un contre l’autre après une journée sous les nuages au bonheur de trouver les choses belles, simplement belles, possibles, souhaitées, sans trop de mots. Dans l'alcôve, bercé par le fracas des vagues sur la plage, dans la chaleur réconfortante de la chambre, une peau contr...