Deux corps exténués par la longue journée de marche. Ils ne se sont pas mélangés sur le chemin, se frôlant par instant, se touchant par accident aussi, s’éloignant, se retrouvant, tanguant au gré des pas, pris par la houle du mouvement. Deux corps, deux êtres singuliers, différents, se reconnaissant sans trop de mots et se trouvant par instant, se rapprochant pas après pas, le temps s’écoule en nuages, en pluie, en forêt d’eucalyptus, en chatagnier séculaire, en paroles confiées, en moments de vérité. La pluie tombe, sous l’abri, ils se plongent, prennent soin dans l’allongement du jour, l’un de l’autre. Del cielo cae agua. Lluvia poderosa. Lavame lamente con agua fria. Y saca la pena de mi memoria. Deux corps l’un contre l’autre après une journée sous les nuages au bonheur de trouver les choses belles, simplement belles, possibles, souhaitées, sans trop de mots. Dans l'alcôve, bercé par le fracas des vagues sur la plage, dans la chaleur réconfortante de la chambre, une peau contr...
Amusant...sur ce forum que je fréquente, une de mes amies a posté un article sur ces termes utilisés pour nous trouver. Très drôle et surprenant.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne mon blog j'ai référencé en recherche : "calendrier armée de terre", je pense que la surprise devait être à la hauteur de mon fou rire :D
Je vous embrasse, Raphaël !
:)
RépondreSupprimerje n'arrive pas à trouver sur mon tableau de bord ...
En cherchant les photos, je tape parfois des trucs pas possible non plus :p
je t'embrasse et j'espère que tout va bien!!