Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
RépondreSupprimerEt alors?!
Des nouvelles de ces Jours heureux-là?!
Quelque chose d'étrange, de fort parfois. L'impression d'un rendez-vous aussi manqué sur certaines choses. Les jours heureux, étrange titre tant les lectures et les images de la soirée d'ouverture étaient sombres.
RépondreSupprimerIl en restera cela : http://www.lapasseduvent.com/Passage-a-l-acte.html#livre719
RépondreSupprimerLes jours peuvent être heureux malgré le sombre.
Voire même, grâce au sombre.
Mais je comprends ce que vous dites.
Et ce qui en reste est beau!
Alors... vivement le prochain Passage à l'acte!
Vous risquez d'attendre longtemps le prochain ! :D
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RépondreSupprimerJ'ai de la patience en réserve, vous savez...