Accéder au contenu principal

Tahiti

J'aurais pu choisir une photo paradisiaque, j'ai préféré prendre une photo un peu plus réaliste de Tahiti. C'est ici que toute la petite famille va vivre pendant au moins deux ans à compter du mois d'août prochain. Et moi... et bien pour l'instant je ne sais pas ce que je ferai là bas ? Chercher du travail dans mon domaine d'activité ? Vivre une autre expérience professionnelle ? M'occuper des enfants et de la maison ? Nous verrons bien.

Je ne réalise pas encore tout à fait...


Allez, maintenant, histoire de vous faire rêver un peu :





Commentaires

  1. ahhhhhhhhhhhhhhhhhh génial!!!
    je suis très contente pour toi! pour vous :)
    Avant que tu ne partes, il faut que je viennes boire un café avec toi.Promis, juré , craché et t'as pas intérêt à dire non;)

    et deuxième demande, tu nous feras des cartes postales de temps en temps,hein?

    RépondreSupprimer
  2. Je dis oui aux deux demandes !!
    Je ne vois pas comment j'aurais pu dire non d'ailleurs.

    RépondreSupprimer
  3. Mais viiiiissss, poulet ! (en ce moment je suis très "poulet", tu peux détester mais il est possible que je trouve quelque chose de bien pire après) Profite pour, je ne sais pas, écrire (puisque tu aimes ça), faire un truc que tu ne fais pas ou peu ou pas assez... Quand tu ne peux pas voyager, t'es obligé(e) de changer tes habitudes pour découvrir de nouvelles choses mais quand tu peux voyager, pouuuurquoiiii mais pourquoiiiii garder les mêmes habitudes et le même regard...
    Je suis contre. Tu poses la question, bon très probablement à toi-même et pas pour demander notre avis mais je te donne le mien quand même : moi, je suis totalement contre que tu fasses la même chose (Si). Ne fais pas ça. Ne te fais pas ça. O_o A moins que t'es une passion dévorante pour ton taf actuel et que tu ne vives que pour lui, là... Ok. Si non, tu testes un autre truc pro ou pas pro ! Mais même un truc qui ne te sert à rien au pire, fais des bonhommes de sable, apprends la cérémonie du thé (bon ça, ce n’est pas trop local mais tu vois "quelque chose"). Le côté bénéfique de dingue que tu peux ressentir à tout changer, ça rejaillit forcement sur d’autres choses par la suite.

    Voilà. C’était ma minute "développement perso". :O)

    Moi aussi je pars quelques mois, plus au nord que toi ahah. Mais la cagoule, les moufles et la pluie ça peut faire rêver aussi hein, vite fait.


    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quand tu dis "poulet", j'entends la voix des zoufris, c'est festif mais moins sexy !

      Tu sais quoi ? J'en fais qu'à ma tête, alors je verrai bien. :D

      Supprimer
  4. Entre temps, et depuis...... Hi Hi Hi! Tu/Vous vous/te serez/seras juste éloigné de Trump....

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

PornographieS

 Texte écrit pour le thème du mois de juillet 2024 "Pornographie" du groupe fetlife "Passion Écrire" ---------------- # Porno \pɔʁ.no\ Adjectif. Relatif à, qui appartient à la pornographie ou à l'extrême violence. Caractère obscène d'une oeuvre d'art ou littéraire. Nom masculin. Film pornographique ou d'extrême violence. Représentation (sous forme d'écrits, de dessins, de peintures, de photos, de spectacles, etc.) de choses obscènes, sans préoccupation artistique et avec l'intention délibérée de provoquer l'excitation sexuelle du public auquel elles sont destinées Porno vice, porno star, sur le canapé les yeux ébahis. Je veux voir. Voir ce qui ne se voit pas. Toujours regarder, sans plus cesser. Des hommes, des femmes, des cris et des râles, simulés, amplifiés, réels, au-delà de l'écran, le néant, l'anéantissement de toute volonté. Le néant qui dévore sans fin, qui te mène en bordure de toi, qui t'empare et te désempare. Panti...

Je veux sucer

 J’aimerais sucer ma bite. Elle est douce, sa taille est sobre, elle est chaude et la caresser fait fleurir en moi toujours une sorte de quiétude, d’abandon serein et parfois d’excitation fiévreuse. Elle tient dans le creux de ma main. Le pourtour du gland est délicatement ourlé, il prend de l’ampleur après avoir joui. Elle m’apparaît démesurée dans le désir plein, lorsque je ne veux qu'une chose, jouir à n’en plus pouvoir. À la base du gland, le frein est formé d’un amas de chair, tendre et malléable, héritage de l’enfance et de la circoncision tardive, petit amas de chair aux sensations fulgurantes. Queue sensible à la moindre émotion. Je me saisis parfois du frein et le tire pour emporter toute ma chair. L'entrée du conduit urétral est une invitation à fourrer une langue. Lorsque la fièvre me prend c'est mon petit doigt que je viens parfois fracasser dans mon gland, l’aplatissant par le haut. Forcer le passage n’est pas une veine masturbation, dans ce délire là, quand il...

Deux peaux

 Deux corps exténués par la longue journée de marche. Ils ne se sont pas mélangés sur le chemin, se frôlant par instant, se touchant par accident aussi, s’éloignant, se retrouvant, tanguant au gré des pas, pris par la houle du mouvement. Deux corps, deux êtres singuliers, différents, se reconnaissant sans trop de mots et se trouvant par instant, se rapprochant pas après pas, le temps s’écoule en nuages, en pluie, en forêt d’eucalyptus, en chatagnier séculaire, en paroles confiées, en moments de vérité. La pluie tombe, sous l’abri, ils se plongent, prennent soin dans l’allongement du jour, l’un de l’autre. Del cielo cae agua. Lluvia poderosa. Lavame lamente con agua fria. Y saca la pena de mi memoria. Deux corps l’un contre l’autre après une journée sous les nuages au bonheur de trouver les choses belles, simplement belles, possibles, souhaitées, sans trop de mots. Dans l'alcôve, bercé par le fracas des vagues sur la plage, dans la chaleur réconfortante de la chambre, une peau contr...