Il a fallu que tu partes alors que je voulais que tu me frappes moi qui suis un lâche moi qui aime tes claques je suis perdu allongé sur ce tarmac je décolle pas sans toi j'aime quand tu joues mon mac et qu'au bout d'un comptoir tu fouilles dans ton sac me donne une petite cape plastique encapsulée en me disant tu la vois la femme laide là bas elle a payé pour se faire baiser emmène là dans les toilettes et baise là fais ce qu'elle te dis de faire sinon plus de claque plus de mac plus de toi et de moi ramène moi ton foutre intacte je le boirai tout à l'heure et tu joueras de ta langue dans ma bouche je bande je bande la trique bien raide bien ancrée dans ma caboche de chat frotteur de wombat dévergondé par les morsures de sa femelle je bande aussi parce qu'un jour tu me diras tu vois le mec là bas il a une jolie queue je le sais je l'ai sucée hier soir tandis que tu préparais le repas va dans les toilettes pour dame laisse la porte ouverte je t'y rejoins avec lui et tu le suceras parce que tu aimes me faire plaisir parce que tu es aussi vicieuse que moi et que cela fait longtemps que tu attends cela et j'attends j'attends que tu m'y incites que tu m'y invites que tu m'attaches le regard sans fard ma queue format mas bandé ta bouche et ta langue qui crachent ces mots sparadraps retourne toi ne jouis pas à quatre pattes voilà gentille petite garce suce lèche écarte ton trou branle le ton putain de dard viens viens viens prends moi putain baise moi oh oui c'est bon quel homme quel homme quel homme femme tu fais attends ne bouge pas je vais chercher ma queue j'ai envie de te foutre bien profond oui voilà oh ça rentre ça glisse doucement et je m'entends crier et j'ai mal et je veux encore cela me brûle me déchire je fuis ta queue pourtant je la veux alors je la cherche je l'enfile je me trémousse les jambes écartées les aducteurs en tension putain oh putain je râle comme une bête mon ventre touche le matelas mes cuisses glissent et tu me prends me fourres et tu le dis et tu parles comme une raclure de pornographe comme une putain de catin qui me cuit à petit feu en marinade en levrette en pissaladière croustillante et pisseuse il a fallu que tu partes mais ce soir je te retrouverai au bar d'en bas et nous craquerons l'allumette pour jouer à nous foutre le feu comme de beaux pervers incendiaires et pyromanes on se donnera la main on les fichera entre nos cuisses et on se branlera la langue pendue l'une à l'autre on s'embrassera les yeux les oreilles la peau les pieds et ma bite et ton con et ma bouche et ton cul.
Hier, je suis rentré du chemin retrouver les miens. Douze jours loin d'eux. Douze jours sur mon chemin. Cette année, j’ai passé sur le chemin dix jours seul, et j'étais merveilleusement bien. Cette année, j'y ai passé aussi pour la première fois deux belles journées et deux nuits fauves toutes particulières, et c'était naturellement et vicieusement merveilleusement bien, j'étais bien avec elle. J'étais bien avec toi. C’était bien d’Être avec toi. J’ai débuté ce chemin, il y a treize ans après une crise profonde au sein de mon couple. Pendant ces treize ans, je crois pouvoir dire être devenu l’homme que je voulais être. Nous avions à cette époque, douze années de vie commune derrière nous et une petite fille de deux ans. J'avais tellement vécu pour toi et pour les autres que je ne savais pas qui j'étais. Depuis, si ce n’est l'année de naissance de mon fils il y a dix ans, deux années calédoniennes, et deux années sous cloche sanitaire, j’ai arpenté ...
Mais.....! Molly Bloom, sors de ce Corps!!!!
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