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Cents éculs

Je la trouve grosse ce matin. Ma bite si petite prend vie, devient magnifiquement grosse à l'idée de son énorme cul faisant le tapin sur le trottoir. C'est ce qui me plaît chez elle, ce beau visage sublime et fin et sa chair en cascade, sa peau kilomètre, sa voix grave et sexuelle, tendre et douce aussi, quand je la regarde baiser par d'autres mâles, je les vois disparaître en elle, se fondre dans le décor, perdant pied comme je ne manque pas de paraître lorsqu'elle me paye pour la regarder. C'est notre deal. Je veux la voir prise par d'autres, je veux être le spectateur de sa vie débauchée, alors je paye, comme au cinéma, grand écran, les lumières éteintes et la lumière de leur sperme sur sa peau dessinant des scènes que je suis le seul à voir. J'ai envie de lui engrosser la bouche, de mater son cul de chienne en chaleur se faire baiser par les milles mâles de la nuit, de la regarder les ébranler, mon regard sombre se fichant au plus profond de son si petit trou en regard de son si large cul pris d'assaut par des queues monstrueuses et difformes.

Gare, j'ai faim et je vais te dévorer. Mon compte en banque est plein et je suis prêt à payer. Demain, elle se postera sur le parking, habillée pour attirer le chaland et se faire tirer, écumant entre ses jambes parce que je serai en face d'elle et que déjà je me branlerai de toutes cette sublime déviance qu'elle me permet de voir. J'en salive et j'en bande. Je m'en branle le cerveau à le faire exploser de toute part en synapses visqueux et collants.

A quatre pattes je t'ordonne pour te faire cavalière, ton ventre et tes immenses contrées épousent les replis des draps puant les baises successives et multiples. Je sais que tu aimes cette odeur, que tu aimes plus précisément l'idée de me faire partager le parfum de ta couche, celle où tu as reçu tes amis, et cela m'excite diablement, et tu le sais, et je le sais, et tu sais que nous nous en branlons l'un et l'autre les jours où nous ne nous voyons pas. Juste à visualiser tes draps défaits et le frisson que cela nous procure l'un et l'autre, êtres de chairs, ennivrés par nos jolies saloperies de baiseurs drogués à l'odeur de nos culs.

Voilà ma main droite qui s'abat sur ton cul ! Le spectacle de l'onde tsunami qui se répand à la surface de tes fesses tendres pour s'échouer à l'orée de tes reins. Et je recommance. Et je regarde fasciné comment ton gros cul répond à ma voracerie.
Pas qu'une fois
Pas deux non plus
De belles claques qui s'enchaînent, comme des ailes qui battent dans le ciel et tes soupirs qui se font cris.
Et la main gauche fourraillant dans ta chatte luisante écumant l'eau aux épices se répendant sur le sol sur mes pieds que tu as envie de lécher, que tu lècheras en m'adressant des regards de chatte en chaleur.
Ce pied que tu tiendras disposé entre tes cuisses, le plat du pied bien disposé entre tes lèvres écartées de façon à pouvoir te branler tant et plus.

Ta main droite tient ma cheville fermement pour plaquer mon membre d'assise et te pénétrer le corps alors que ta main gauche se met à tirer sur tes seins déments, les compressant sans vergogne. Tu te branles le con et tu te mets par sacade à me conter tes baises de la semaine. Il y avait cette fois plus de femmes que d'hommes, l'une d'elle a voulu te pisser dessus et tu t'es branlée de ce qu'elle t'a fait plusieurs jours durant, te décidant un soir à disposer un verre à pied entre tes cuisses pour boire ta propre pisse, explosant de jouissance à l'instant où tu as renversé le verre sur ton ventre. Tu me dis que tu as aussi enculé un de tes amants, le timide, celui que tu chauffes depuis longtemps avec lequel tu joues à je veux, je veux pas, qui s'est rapproché de toi pour se soumettre à la déesse que tu es, y compris à mes yeux, tu lui as enfin baisé le cul, il a eu mal mais il ne s'est pas plaint, il a fini pris de crises nerveuses, continuant son orgasme alors que ta queue factice n'était plus en lui. Tu me dis que demain, tu feras la pute sur notre parking préféré, celui où je donne rendez-vous à des hommes que je choisis pour la diversité de leur queue, des hommes qui chacun me paieront avant de pouvoir s'approcher de toi. Cela formera un beau pécule que je te donnerai sans prendre ma commission, que je te donnerai en y ajoutant l'égal de la recette du soir. Ainsi est ce mon prix, j'aime te voir prise par de nombreux hommes, alors je dois y mettre le prix, cela ne vaudra jamais ce que tu m'offres ma déesse terre.

Tu continues à te branler sur mon pied englouti par ta gloutonnerie, je sens ta chair tendre le mettre en bouche et lui baver dessus. Tandis que je te montre ma bite tendue à l'excès, tandis que je me branle le regard de chien déterminé à armer le chien et à tirer à tout va pour répandre mon foutre à n'en plus finir sur mon ventre, giclant aussi sur ma poitrine et éclaboussant aussi par instants mon cou. Ah, tu te branles ! Tu prends mon pied, ton pied. Tu réclames ton du, convoites mon sperme, cents écus et il est à toi, changes le en ton gros cul assis sur ma face pour glisser d'avant en arrière à m'empêcher de respirer et le festin te sera offert. Payes moi ce qui te plaira, après tout je m'en fous, je paierai le prix s'il le faut encore mais s'il te plaît, s'il te plaît, baise-moi !

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