Je te regarde les yeux mi clos
Toi qui a de si grands yeux
Quand l'envie t'assaille, tu portes sur tes paupières le regard torve, le regard de baise les paupières lourdes et baissées comme des persiennes
Ma queue est dure
Tendue
Chaude
Demandeuse
Je vais m'endormir comme cela
En t'ayant regardée, lécher longuement comme une glace sur laquelle je referme mes lèvres et plante les incisives
J'aime quand tu es vicieuse
J'aime quand tu es perverse
J'ai très envie de toi
Envie de réserver une chambre et te baiser comme c'est pas possible, deux heures à te foutre, à te mettre, à te perforer de la queue, de mes couilles, de mes mains, mes bras, jusqu'aux épaules. Planter les dents dans ta peau et t'arracher des cris jusqu'au sang. Fourrer ma queue dans ton sexe et t'engrosser en répandant mon foutre dément de plaisir, regarder mon sperme s'écouler et fourrer ma langue ensuite pour mieux te parer la bouche. Oui t'engrosser ! Et tu mouilles. Garce ! Vicieuse garce ! Tu mouilles de ces si jolies bassesses. Sans retenue, sans protection, nous rendre ivre jusqu'à ce que nous ne soyons plus que des pantins démantibulés, fracassés contre la grève dans la tempête de nos vicieux désirs de baises telluriques.
Je te pisse dessus mon Amour
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