La petite vilaine pose sa main dans ses cheveux courts. Partant de la nuque, doigts écartés, elle irise la chevelure d'éclairs de lune. Plusieurs mouvements ainsi. Elle se décide à faire le tour. Le joli vilain est à quatre pattes. Il attends. Il soupire. Il bande. La voilà devant lui. Recommençant ses caresses capillaire. Il ronronne. Il cherche à se blottir, contre ses hanches, là, juste au dessus des cuisses. Il a envie. La petite vilaine aussi. Femme Pénis elle le lui donne et sans beaucoup de douceur se met à lui baiser la bouche. Il aime. Il ne sait pas ce qu'il aime la dedans, mais il aime. Ça oui. Parce que le joli vilain aime être avec elle ce qu'il peut bien leur plaire. Et là il est salope. Ça tombe bien parce que la petite vilaine a une surprise pour lui. Une vraie queue. Pas très grande, non, vraiment pas, mais jolie elle aussi. Elle lui demande de s'approcher, cesse ses va et viens et intime au joli vilain de venir s'accroupir à ses côtés. Suçons cette queue et montrons lui comme toi et moi nous savons être vilaine. Ainsi débute le ballet des lèvres et la litanie des vilaines langues. On ne sait plus trop qui suça qui, qui lécha, qui pris dans sa bouche, qui fit glisser dans ses mains, qui soupesa les bourses, qui assoupli les vilaines voies, mais on sait qu'ils ne furent pas sans voix, ces deux vilain.e.s et cette petite queue.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
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