Allongés nus dans le lit, sous la couette, l'un contre l'autre. Elle est d'abord venu sucer son téton droit alors qu'ils étaient allongés sur le côté, l'un contre l'autre. Elle le têtait. Elle le léchait. Le mordait. Le suçait. Il montait vite cotonneux, s'envolait dans le désir, perdu dans ses vices. Il l'a voyait sucer des queues, de belles queues. Sa main entre ses cuisses, thermomètre de son désir à elle. Loin du précipice encore. Alors, tandis qu'elle restait allongée sur le côté, il s'est installé au niveau de son visage, les genoux repliés et lui a offert son sexe et ses couilles. Elle, aime être l'objet. Elle, aime sucer. Il donne donc le rythme en la faisant alterner entre ses couilles, son gland ou sa bite entière. Sa main droite est placée sur sa nuque, sur sa gorge, dans ses cheveux ou contre le côté de son visage. Pendant ce temps, la main gauche continue de caresser son entre jambe. Elle le lèche, le suce avec avidité, devenant animal gourmand et jamais repu, animal sensuel et sexuel. Il aime la voir dans cet état où enfin elle s'abandonne à ses désirs à elle, ce qui chez elle n'est pas si fréquent. Et son sexe se gorge de sang, se raidi de plus en plus, son gland est gros, tendu à l'extrême. Une entaille et le sang pisserait à n'en plus finir. Il fait de petits bruits, des râles de plus en plus fréquents et sa mouille à elle vient à être de plus en plus présente. Le désir arrive. Prêt à déborder. Alors sa main vient plaquer son visage contre le matelas pour l'éloigner de sa bite et de ses couilles, pour l'obliger à attendre qu'il veuille bien qu'elle reprenne son repas. Repas qu'il lui offre ensuite de nouveau par petite dose. Lui faisant sentir la peau chargée d'odeur entre sa cuisse et ses bourses. Lui faisant avaler ses couilles. Lécher ses couilles. Titiller le gland, sa fente et ses bordures. Enfournant sa queue dans sa bouche, contre l'intérieur de sa joue, ou plus loin au fond. Il fait cela quelques fois. Au bord du ravin. Prêt à sombrer. Il sait que chaque incursion de son sexe, de ses couilles, de sa peau, le contraindra ensuite à s'éloigner dix ou vingt secondes pour prolonger le plaisir encore un peu plus longtemps.
"Alors comment c'est de sucer une bite ?"
"C'est bon".
Ils ne diront pas plus de mots. Il respire fort. Grimaçant, repliant ses lèvres en un rictus informe. Ses bruits de plaisir sont nombreux. Une dernière fois il s'éloigne. Son gland est sur le point d'exploser. Il immobilise son visage contre le lit, sa joue gauche plaquée contre le matelas et place sa queue à quelques centimètres ou millimètres au dessus d'elle. Des gouttes de sperme ont commencé à s'écouler doucement et à tomber sur son visage. Il la maintient. L'empêchant de le toucher. Elle cherche à gober, à sucer, à sentir la chaleur de sa peau à lui, poursuivie par l'irrésistible désir savoureux de le lécher et le sucer encore. Il reste ainsi à ne pas céder au plaisir en faisant cet effort de résister à l'envie de lui baiser la bouche, le con ou je ne sais quoi encore, à résister à l'envie de la piloner et de la déchirer. Il entend ses bruits de bouche et de langue cherchant à receuillir les quelques gouttes qui tombent sur son visage et qui s'écoulent jusqu'à ses lèvres. Il ne jouit pas. Il retient la déferlante. Son sperme déborde, écume le trop plein. Puis il fourre en urgence sa queue dans sa bouche et très vite commence à exulter son plaisir qui se transforme en rire qui se mue en fou rire contagieux. C'est une torture et un délice, le fou rire et le plaisir se mêlent aux larmes et à l'envie de se laisser aller à chialer tant ses sens sont aiguisés. Les cordes vocales tendues, ses mots ne sont que voix aiguë. Et il pleure, il sanglote, suffoque d'orgasme, s'étouffe et plane.
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