Sous le grand kaori, me voilà caninement fait catin, entre tes doigts Karine. Tout à l'heure alors que capiteusement tu décapitait ma queue sans âme, âpre et dure à l'ouvrage, je t'admirais dévorer mon cul et faire peu de cas de mes candides baisers, échauffourées vite étouffées sous tes capricieuses fessées. Cramoisies pâmoisons, quatre pommes caramélisées claquent comme chants de cacatoès. Tes deux mains éventrent l'antre béant de mon séant, désirs puants et purulants, et je n'ai d'autres choix que d'être cathodiquement emporté par les ondes qui se propagent et me vrillent. Lassive caraque voilà que tu égraines la belle Castafiore que je suis. Maintenant, vient les instants doux, cajole, caline, suave carré fondant de chocolat.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
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