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Au sanctuaire d'Inari

 Dans la forêt de bambou les singes refluent

Le concerto des cigales nous assourdit

J'ai déchiré ta robe pour voir ta peau nue

Ce n'est rien à côté de mon sang qui bat vite


Je lèche tes lèvres gonflées par nos baisers

Tandis qu'Inari nous couvre sous ses toris

La chaleur nous étouffe brasiers à ses pieds

Et demain il y a ce retour à Paris


Prends ma main entre tes cuisses aéroplane

Voici le temps d'éprouver durement ta foi

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