Aux parfums épicés
L'abandon ainsi né
De ma bouche tue
À point d'heure
Assaillie par ta vulve
Bâillonné par ton corps
Ne restant que mes bras
Enserrant large hanse
Et mon visage repu
Sous le poids de tes hanches
Au pinceau de ma langue
Branlant tout ton corps
Il me reste murmures
Quelques C sans cessé
Avivés, étouffés sous l'étoffe
De ton con de ton cul
Pour moisson de ta mouille
Ces saveurs profondeurs
Chaudes marines
Que mon nez tel mon sexe
Frôle fourre foutre fouille frotte
Sous ton rythme de folle amazone
Avant que ne vienne
En un dernier spasme pénétré
La tendresse enfin libérée
D'émotions nées et de souffles emportés
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