Deux hommes une femme.
Un homme attaché l'autre libre.
L'un bâillonné l'autre léchant la peau et le sexe.
Une femme écartant les cuisses pour laisser la langue convoler.
Un homme écoutant, le sexe en cage, le chant de sa femme.
Elle a sa nuque posée sur son ventre.
Lui ne peut la toucher il ne peut que l'être.
L'étranger entreprend à donner son sexe.
Elle le suce dur et rectiligne sans un regard pour son homme, elle pose sa main sur le visage fraîchement rasé pour disposer d'un appui et mieux se relever pour sucer l'amant.
L'amant vibre de toute part un temps long soupire hahanne jure, il parle à l'homme, il lui dit ce que sa femme lui fait si bien, il jure qu'il doit regretter d'être ainsi attaché.
La femme s'emporte, se met à dévorer son amant jusqu'à ce qu'il retire son sexe de sa bouche et lui donne à sucer lécher jouer bouffer ses bourses pleines.
Des gouttes de sperme, trois précisément, s'échappent et chutent sur le visage du mari
Il bande fort, contraint, sa femme voit et se met à lécher le visage de l'homme qu'elle aime. Elle lui dit son amour et le traite de cocu en chaleur. A ce moment, l'amant baise-amour l'épouse, la prend, la pénètre et l'ébranle. Elle est affalée sur le corps attaché, le corps chaud et doux, elle se met à hurler que la queue est bonne, bien meilleure que celle du mari, son corps heurte celui à qui elle a dit oui et désormais se refuse. Les deux corps font des vagues qui se heurtent, chaotiques. L'homme finit par jouir en sueur tandis que la femme poursuit le mouvement en frottant son clitoris contre la cage de chasteté et ne tarde pas à être à son tour emportée.
Les deux amants sont allongés. La tête reposée sur l'oreiller de l'homme, le visage sans bâillon, ils parlent et rient tous trois de leur folie. L'homme et la femme sont libres. L'autre homme reste attaché. La nuit ne fait que commencer.
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