Bande son : Handel - Giulio Cesare in Egitto, HWV 17, Act II, scène XIII : Aria-largo "si pieta di me". Interprète : Sandrine Piau https://www.deezer.com/track/92369954 —----------- Bilbao. Au coeur del Cerco Viejo, tout proche de la Plaza Nueva, non loin del Nervion, il y a une petite rue, des odeurs légères et trainantes de tortillas, de chipirones frios, des éclats de voix, ceux des enfants qui jouent, ceux des adultes qui s'apostrophent dans le brouhaha tout proche, des bruits de vaisselles, celles que les serveurs lavent à la va vite avant de les remplir de pintxos gourmands et généreux. Franchir le passage, c'est se noyer dans le coeur battant de la ville, dans la foule et la vie sociale, l'alcool et les rires, le plaisir de l'instant et les amitiés braillardes. Restons en bordure. Au numéro uno de cette petite kalea servant de desserte à la dizaine de bar à pintxos de la Plaza, avant le chao des hommes, il y a une porte dont seul les rêveurs ont l
D'une grande délicatesse
RépondreSupprimerJe trouve cela triste, comme une incapacité à entrer dans le réel
RépondreSupprimerC'est assez intéressant de lire les deux commentaires précédents. La perception d'une seule et même scènes traduit bien d'émotions. :)
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup l'histoire qui nous est raconté. Cette délicatesse, cette tendresse, ce désir, la légèreté... puis... En plus de ce quelque chose d'insaisissable qui est mit en image par ce jeu de lumière et ce côté flou. Les danseurs sont magnifiques. :)
RépondreSupprimerBon! No one, No one... ça fait un moment que No one!
Faudra, quand-même, que le proprio pointe le bout de sa plume par là!
:)
C'est pas gagné :)
Supprimer
RépondreSupprimerParce que... y a quelque chose à gagner?!
:)
Qu'il se dépêche, alors!