Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
RépondreSupprimerUn autre battement qui fait écho aux leurs:
... rien qu’une autre année
pour que j’aime vingt femmes
et trente villes
pour que j’aille vers ma mère éplorée
et que je lui crie : Enfante-moi de nouveau
pour que je voie la rose depuis son commencement
et que j’aime l’amour depuis son commencement
jusqu’au terme du chant...
Mahmoud Darwich - Rien qu'une autre année
Qu'elle vous soit belle!
Merci, une ou deux femmes me suffiront amplement. :)
RépondreSupprimerQuant aux trente villes, pourquoi pas.
Qu'elle vous soit riche !