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Affichage des articles du octobre, 2017

Des avions de papier

Etrange dame nature

C'est moi... ou bien... ? Bon, pour ceux qui seraient motiver par cette photo pour venir en Nouvelle Calédonie, je vous dit tout de suite que cette photo 100% nature vient du Nevada.

Des jours et des nuits à prendre le pouls

Les refuges de nos ailes (2)

Sous les réverbères je rêve D'une ère où les filles de l'air Papillonnent sous le verbe La lèvre basse je rêve En verbe que ses lèvres Hautes embrassent mon Eve Et répandent en elles la chaleur Eclair de cet halogène Non sans trêve entre Eve Sabre au clair entre elle Emoi la lumière chancelle Sous nos paupières closes Et chastes scellent cette veine Qui non sans sel fut l'appel De nos gestes miel caresses d'hier En ces terres berbères Livre des innocences barbares Rêves de lèvres en verve Esquisses de celles comme ceux Qui sous ces réverbères étrennent Le costume qui passe et étayent Ainsi les baises d'avant qui au faîte De leurs âges font sens donnent scène S'égrènent en nos traces présentes Puisent confondent et s'amassent Sous la chair celle dont la saveur Entête comme l'herbe s'émeut Sous l'haleine fraîche des éoles de plaines Ces peaux à la pelle qui s'aiment En tout sens dans les pentes moites Des

Les refuges de nos ailes (1)

Sous les réverbères je rêve d'une ère où les filles de l'air papillonnent sous le verbe la lèvre basse je rêve en verbe que ses lèvres hautes embrassent mon Eve et répandent en elles la chaleur éclair de cet halogène non sans trêve entre Eve sabre au clair entre elle et moi la lumière chancelle sous nos paupières closes et chastes scellent cette veine qui non sans sel fut l'appel de nos gestes miel caresses d'hier en ces terres berbères livre des innocences barbares rêves de lèvres en verve esquisses de celles comme ceux qui sous ces réverbères étrennent le costume qui passe et étayent ainsi les baises d'avant qui au faîte de leurs âges font sens donnent scène s'égrènent en nos traces présentes puisent confondent et s'amassent sous la chair celle dont la saveur entête comme l'herbe s'émeut sous l'haleine fraîche des éoles de plaines ces peaux à la pelle qui s'aiment en tout sens dans les pentes moites des montagnes faunes ou dans les sentes v

The mojo girl

Sous toutes ses formes

Le voilà à quatre pattes. Attendant une femme. Celle qui lui avait si superbement léché le cul. Son petit cul de chienne en chaleur. Oui, il aime bien qu'une femme lui glisse ces mots là, avec tendresse, délicatesse ainsi qu'une légère pointe de fermeté. Elle lui avait glissé ces mots simples en bouche alors qu'il était tout accaparé à s'occuper de cette autre. Ses mains étaient brulantes, le cul offert rougeoyant. Il fessait fort, sec, l'autre main parcourant l'intimité suave de sa victime consentante. Son sexe était dur, doux aussi. Une main l'avait remarqué, dans cette débauche des corps. Après avoir épousé sa taille, elle le branlait lentement, établissant un fourreau de peau qui le laissait tout à ses aises. Doucement susurrés, elle lui avait dit ces mots là. Rien ne pouvait laisser supposer qu'il les apprécierait. Après tout, ici personne ne le connaissait, et naturellement dans ces univers méconnus, il préférait jouer de main de maître plutôt que

Dire ou penser "Je t'aime"

Dire "je t'aime", parce que l'on ressent cet élan vers l'autre, cette tendresse, ce bien être. Dire "je t'aime", parce que l'on souhaite à tout cœur entendre la réciproque. Dire "je t'aime", parce que c'est devenu une habitude en laquelle on croit ou ne croit plus. Dire "je t'aime", parce que cela aide à faire grandir nos enfants et qu'on le ressent profondément. Dire "je t'aime", parce que l'on cherche à manipuler d'une façon ou d'une autre. Dire "je t'aime", pour dire exactement l'inverse. Dire "je t'aime", parce que l'on ne veut pas blesser. Dire "je t'aime", parce que l'on préfère ne pas s'avouer que cette expression là n'a plus beaucoup de sens Dire "je t'aime" au compte goutte parce qu'il est devenu précieux à force de l'avoir user par tous les bouts. Dire "je t'aime", parce

Servez-vous

Sylvie, Ainsi P vous a conté notre première rencontre. Récit auquel vous avez été loin d'être insensible puisque vous vous empressiez de rentrer chez vous en urgence pour vous branler furieusement et faire baisser la tension que P avait créée en vous au son de sa voix et de ses confidences. J'aime cette idée que certains vécus puissent en générer d'autres ailleurs hors de tout contrôle. Je vous imagine aussi gourmande que notre petite Miss, aussi Salope pour les belles occasions aussi. Vous avez eu la version de notre jolie catin commune, voici ma version. Voilà de longues semaines que P et moi échangions nos mots sur Wyylde, au fil des semaines, il était évident que mes vices se nourriraient copieusement de ceux de P. Différence d'âge précisait elle, cela m'est égal lui répondais-je. Les gourmands sont faits pour baiser et se faire baiser. J'espérais la baiser copieusement et qu'il puisse en être de même pour elle, qu'elle me baise autant qu'

Les traces que nous laissons

Parfois, il m'arrive de m'égarer sur les traces que nous avons laissées sur le net. J'ai commencé à écrire sur auféminin, puis sur canalblog, avant d'arriver ici. Je n'ai gardé aucune trace de "Coule la Seine" ou de "D-Cadence-Sensuelle". Je n'ai pas de regret de cela, chacune de ces pages là était une couleur en soi. Une couleur, un reflet de moi, rarement moi, ou plutôt trop souvent un moi projeté, fantasmé, étriqué, qui a fini par être à l'étroit dans ces deux lieux. Surtout la décadence. Ici, je laisse bien plus librement mes mots aller où ils veulent. Bien qu'il me faille avouer que j'écris de moins en moins. De moins en moins de cul aussi. J'aimerais replonger ma plume, mais tout ce à quoi je pense ne me permet pas de me lancer. C'est qu'avec le temps, mon exigence s'est élevée concernant mes mots. Quoi qu'il en soit, j'ai toujours plaisir à retrouver les vestiges des blogs que je fréquentais il y a 5

Je voulais te dire

Avec toute parole Avec tout sourire Avec tout regard Avec toute caresse Je m’approche de l’eau Buvant ton baiser La lumière de ton visage La lumière de ton corps T’aimer est prière C’est chant de muet Regard d’aveugle Secret dénudé Je me rends à tes bras J’ai peur et je suis calme Une prière dans la bouche Et une prière dans l’âme Avec toute parole Avec toute sourire Avec tout regard Avec toute caresse Je m’approche du feu Qui brûle le tout La lumière de ton visage La lumière de ton corps T’aimer est prière C’est chant de muet Regard d’aveugle Secret dénudé Je me rends à tes bras J’ai peur et je suis calme Une prière dans la bouche Et une prière dans l’âme

L'ivresse