Ouvre tes lèvres que je les lèche. Écarte tes cuisses que je joue de ma langue. Par aplats, par douceur, par force. Que je fasse cela longtemps me jouant de ton sexe, me jouant de ta bouche. Écarte tes jambes que je vienne me plonger à ta source. Voilà. Comme ça. Laisse moi voir. Laisse moi te regarder de près. De très près. Que je puisse jouer des mes mains, de la pulpe de mes doigts, à la naissance de mes phalanges. Mes dix doigts, de un à dix dans ton cul, dans ta chatte, dans ta bouche. Goûte. Lèche. Murmure. Susurre. Dis ton plaisir, pendant que je joue la partition sur toi, que je te déguste à la source, longtemps animal, dévorant tes entrailles pour que tu te répandes en jouissances.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
J'aimerais bien entendre la mélodie de cette partition...
RépondreSupprimerMes excuses pour ces mois pris pour vous répondre, j'aimerais aussi pouvoir l'entendre à l'envie
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