Accéder au contenu principal

Confidences #2

Je vous ai tout dit, vraiment tout. Un jour j'essaierai d'y faire pénétrer ma main... je crois pouvoir le faire, je le ferai pour vous.

Vous avez vraiment fait tout ça en pensant à moi...? Je suis touchée… Je fais plus que fondre, je coule, je coule littéralement. A mon tour de vous dire comme j'ai envie de vous... Vous raconter la chaleur et la tension que vous avez fait naître dans mon ventre... Je n'ai pas encore osé toucher... Je suis certaine que je vais jouir en effleurant mes lèvres....Je descends ma main sur mes seins...ils sont sensibles... les pointes, si dures...Si sensibles.... Je les pince fortement, les tire vers le haut. Regardez comme ils sont beaux ainsi étirés. C'est douloureux... c'est bon... J'aurais envie de votre bouche, qui lèche, qui suce, qui mordille... Mes seins sont doux, lourds... je les porte à mes lèvres pour les baiser comme vous le feriez. Je les lèche, je les taquine… Hmmm, C'est bon... J'aimerais y accueillir votre sexe... Vous me demandez de les mordiller davantage... mais je ne peux pas, je vais jouir si je fais ça... Vous insistez, je vais tacher de me retenir. Hmmmm….
Continuez à les mordre, cette fois plus fort.

Oh... libérez-moi, laissez-moi jouir...

Non, je me suis offert à vous, maintenant à moi de me servir comme je l'entends.


J'essaierai.....Je sens l'orgasme si proche.... Je reprends mon sein en bouche, je le saisis avec mes dents, je serre, je retire mes mains à votre demande… je laisse faire la pesanteur. Une minute. Oh... ça fait mal.... hmmmm....une minute… ……….. Oh c'est délicieux..... Vous me demandez de faire de même avec mon autre sein. Je ne me fais pas prier. Je me sens au bord de l’explosion. J’ai envie de jouir, de crier et vous vous me torturez si subtilement. Ooh.... j'ai mal... c'est divinement bon... Une minute encore. Tenir une minute pour vous montrer comme votre présent m’a rendue folle. Ohhhh. Je sens mes cuisse couler... je suis désir liquide...Votre bouche, sur mes seins......

Maintenant vous allez saisir chacune des deux pointes, serrer le plus fort possible et les étirer devant vous à l'horizontale.

tu me tortures...

oui, et tu aimes cela ma belle garce

Oh... oui...

ma petite pute

Vous me connaissez si bien...


dites le moi, qu'êtes vous ?


Votre chienne...votre salope sublime... Je suis votre petite pute, votre chienne, votre salope...Et j'aime tellement cela... Vos mots fusent, impératifs, je suis bien dans vos mots, je me laisse guider aveuglément, je suis si belle dans vos mots. Je vous obéis je porte à nouveau la pointe de mes seins à mes lèvres et je mords sèchement, je m’exécute j’ôte mes mains. Vous êtes fou.....complètement J'adore... J'ai mal, j'aime... Cette douleur est divine... Vous me libérez enfin, mes mains peuvent rejoindre ma chatte liquide. Mais je vais jouir si je les effleure. M’y autorisez-vous ? Mon sein est toujours pris entre mes dents, et mes mains enfin parviennent à mon sexe béant de plaisir. Oh ! … …. C'est fort.....c'est BON..... Je jouis, enfin, et les soubresauts de mon sexe semblent ne jamais vouloir s'arrêter....

Je suis certaine que mon mari m'a entendue.... l’idée me plait. Il ne sait rien de nous, mais il ne peut pas ne pas savoir que je suis liquide, que je jouis de chaque instant qui m’est offert. Il me laisse à ma liberté, j’apprécie cette marque d’amour. Vous devinez que malgré ma jouissance j’ai encore envie. Comment se fait-il que vous me connaissiez si bien...? Voilà que vous me guidez à nouveau. Vous voulez que je m’offre cette fois à mon époux, que je le rejoigne à l’étage, que je m’agenouille devant lui, que j’ouvre sa braguette et rende hommage à son sexe. J’imaginerai derrière mes paupières closes que c'est vous que je suce avec délice... Je veux être encore un peu votre chienne, celle que vous commandez, que vous pilotez selon vos désirs. Je lui lécherai les couilles copieusement, vous me demandez de glisser ma langie le plus loin possible en direction de son petit cul. Je le ferai chavirer pour vous, je serai votre petite petite pute, votre bel ange. Vous me rendez folle !  Vous me demandez de faire partager un peu de cette folie à celui que j’aime. L’idée me plait, vous associer, vous et lui pour magnifier mon amour et mon désir infini de femme. Vous m’invitez à poursuivre l’histoire. Je vous quitte à regret mais plein de vous, je vais vous prolonger, là tout de suite.

Je ferme l’ordinateur, je suis nue. Eve dans toute sa splendeur. Je descend les marches de l’escalier. Doucement, assurée de la conquête à venir. Je vous sais derrière moi et j’ondule sans même réfléchir, je fais danser mon cul, cela me fait sourire, je me sens belle et irrésistible, mon petit cœur au creux des hanches. A votre tour de jouir de moi. Je trouve mon homme bricolant dans l'atelier.... Il me regarde et souri... Je m’avance décidée, souriante, heureuse. Je prends sa main, doucement. Je la porte à mes lèvres comme tout à l’heure j’y ai porté mes seins. Voilà que je me mets à lécher ses doigts, un à un. Et je lui fait la surprise de les glisser entre mes cuisses sans autre parenthèse. J’aime son regard, si subitement conquis. Son sourire s'est étiré, puis il a fermé les yeux...Ses doigts se sont un peu agités en moi...C'était bon...

Je me suis arrachée à cette caresse, me suis agenouillée devant lui comme vous me l’aviez demandé. J’ai défait sa fermeture éclair...le bouton... J'ai fait tomber son pantalon sur ses chevilles... J'ai frotté mon visage sur son sexe turgescent...à travers son sous-vêtement. Il en avait autant envie que moi, et n’a pas tardé à quitté son boxer pour présenter sa queue à mes lèvres..."Suce-moi" a-t-il murmuré en un souffle...J'ai fait glisser ma langue sur la peau si fine, si douce...jusqu'à la base...sur ses bourses, que j'ai léchées, gourmande...que j'ai enveloppées de mes lèvres, mes doigts s'égarant entre ses fesses... Et pendant que je le... vous léchais, que je m'emplissais de votre odeur...vous vous branliez....exactement. Oui vous vous branliez, rien ne pouvait me laissait penser le contraire. Je sais que vous vous branliez en pensant à moi. Et ma langue sur vos bourses, et là, plus loin entre vos fesses, a rapidement eu raison de vous...Vous avez joui, en trois jets chauds qui se sont étalés dans mes cheveux, sur mon visage, dans mon cou...

Mais l’heure n’était pas encore finie. Il m'a poussée sous la douche, où il m'a lavée, embrassée... j’ai été choyée, telle une princesse qui venait d’être couronnée. Son érection est revenue rapidement, alors je me suis à nouveau agenouillée... reine entre toutes, et j’ai offert ma bouche à mon roi... Il a pris ma tête entre ses mains, et il a baisé ma bouche... je sais que c’est exactement ce que vous auriez fait. Il m’a dévastée, sa queue au fond de ma gorge... cela ne lui ressemble pas, il était vous à cet instant, et j’ai adoré sa fougue. Il m’a baisé, complètement baisée. C'était bon.... Tellement bon... Si cela avait été vous, vous m’auriez appelé ma petite pute et j’en aurais été fière, si fière. J’aime être cette femme, aimée, choyée, baisée.
311537111_2f7413121c_o

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La Malemort

Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton

Un répit

 L'un contre l'autre, assis dans le salon. Lumières éteintes. Quelque chose comme trois heures passées minuit. Les lueurs de la vie. Les solitudes choisies, subies. Tes mains qui me massent, nous apaisent. Le dos se dénoue. La colonne s'abandonne. Je sens ton envie. La mienne naît ainsi de la tienne. Je ne dis rien. Je ne suis pas même certain de le vouloir. Pourtant je le veux. Mais je crains l'après. Est ce que cela effacera l'avant ? Est ce que cela effacera le dernier mois ? Ce serait plus simple, mais je ne veux pas que cela efface. L'amnésie et l'oubli pour ceux qui craignent. Je suis capable de cela. Mais je ne veux pas. Alors tu demandes. Je dis oui, j'ai envie. Je ne sais pas si c'est une bonne idée, je ne sais pas si cela compliquera plus encore. Je dis cela, et je dis j'ai envie. Et tes mains continuent à glisser sur ma peau. Et tes seins, et ton ventre, et ton bassin, collés contre mon dos. Je bande. Depuis longtemps déjà. Depuis que

La chambre des rêves (communion d'un Ange ou d'un Fou)

  Bande son : Handel - Giulio Cesare in Egitto, HWV 17, Act II, scène XIII : Aria-largo "si pieta di me". Interprète : Sandrine Piau https://www.deezer.com/track/92369954 —-----------   Bilbao. Au coeur del Cerco Viejo, tout proche de la Plaza Nueva, non loin del Nervion, il y a une petite rue, des odeurs légères et trainantes de tortillas, de chipirones frios, des éclats de voix, ceux des enfants qui jouent, ceux des adultes qui s'apostrophent dans le brouhaha tout proche, des bruits de vaisselles, celles que les serveurs lavent à la va vite avant de les remplir de pintxos gourmands et généreux. Franchir le passage, c'est se noyer dans le coeur battant de la ville, dans la foule et la vie sociale, l'alcool et les rires, le plaisir de l'instant et les amitiés braillardes. Restons en bordure. Au numéro uno de cette petite kalea servant de desserte à la dizaine de bar à pintxos de la Plaza, avant le chao des hommes, il y a une porte dont seul les rêveurs ont l&#