Je suis à genoux, tu guides mes mains pour les poser sur cet autre sexe
d'homme, puis me montre comment faire, j'approche doucement, hésitant,
puis englobe ce sexe de ma bouche, coulissant sur ce doux fourreau de
chair.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
RépondreSupprimerJe ne sais pas pourquoi je tique contre la chaire.
Peut-être parce que lève et que prèche!?!
:)
Le reste est parfait!
(comme d'habitude)
Comme vous, je bloque systématiquement sur ce mot... rien à faire il s'impose toujours sans que je n'y prenne garde.
RépondreSupprimerJe corrige de ce pas.
Merci pour le "comme d'habitude"
RépondreSupprimerPourtant, ça tombait bien avec "je suis à genoux".
:)
Oui, mais nettement moins avec la bouche qui coulisse sur le doux fourreau ! Enfin... de mon point de vue
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RépondreSupprimerOui! Voilà pourquoi je tiquais!
:)