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Regarde

 Je te regarde lécher. Je regarde ta langue lécher. Je te regarde sentir. Je te regarde me regarder d'un regard qui me dis "regarde". "Regarde comme ma tendre salope comme je suis ta putain", voilà ce qu'il me dit ton regard. "Regarde le plaisir que j'ai à faire ce que tu me demandes". Je regarde tes lèvres ouvertes et charnelles. Je regarde tes yeux grands ouverts, ce regard qui me dit "regarde comme je t'excite, regarde la jolie chatte que je suis". Je t'imagine parfaitement animale à quatre pattes, une fourrure blanche striée de gris, une chatte de gouttière se frottant à mes jambes, ronronnant de plus belle, levant la queue à chaque passage pour me montrer ton cul et ton con, pour me signifier "regarde comme je suis en chaleur". Et je te regarde. Je regarde ta langue qui lèche, ta langue qui lèche le tissu de ton string, ta langue qui pare l'humidité avec désir et gourmandise. Je regarde ta langue qui s'exhibe sur la matière, ton piercing se jouant de la matière mêlée des gouttes de ta pisse, de l'épaisseur de ta mouille, du parfum fort de ton cul baisé et rebaisé encore, le miel de ta mouille déposé là une journée durant à mouiller de penser à toutes ces vicieusetés que tu pourrais faire si je te le demandais, si je faisais de toi mon pantin à baiser. Ici avec moi, là avec cet homme sans attrait qui n'a de cesse de te mater depuis des années quand tu croises son chemin le matin sur le chemin de l'école. Ailleurs avec quiconque ici, hommes ou femmes, qui aurait assez de vice pour te convenir. Alors je te regarde et je vois le tissu qui caresse tes lèvres, lèvres charnelles, lèvres chaude, humides, bouche à bâillonner, lèvres à mordre, lèvres à désirer dans le désordre. Regarde mon sexe, regarde ma queue, regarde ma bite comme elle est prête à engrosser tes désir foutraques ! Regarde mon regard comme il est sombre. Regarde mon regard et la tempête qui s'annonce. Regarde moi mon joli coeur, regarde ton reflet défait par l'insondable qui remonte.


Oui, regarde moi, et branle toi.

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