Brave petite fille. Oui, tu es une brave petite fille. Tu réponds à chacun de mes vices. Je viens de te branler le con alors que tu étais debout, les deux mains posées sur la table du salon familial. Par terre, une immense flaque. Ton cul est déjà bien rouge. Je te demanderais de jouir instamment que tu le ferais sans tricherie, j'en suis certain. Brave petite fille. Tu es venue me chercher nue sous ton trench-coat. Je n'ai donc pas eu besoin de te déshabiller. Ton con est doux. J'enfonce subitement ma main en toi et j'entre sans autre préliminaire. Tu jouis encore ma petite fille et tu coules encore. Ma main bien enfouie dans ton épaisse tignasse, je tire fort, et tu laisses tes râles, tes délicieux râles sortir de ta bouche grande ouverte. Lui te regarde. Il se branle. Il ne dit rien. Ton homme veut sucer ma bite. Je le sais. Il le sait. Tu le sais. Je me penche vers le sol. Je pose ma main dans la flaque fraîche de ta jouissance. J'enduis ton cul de ton éjaculation. Mes mains claquent encore. Je recommence mon geste et c'est ton visage que je barbouille de ce liquide mi pisse mi mouille, te léchant à grande lapée tandis que tu cherches de ta langue à t'en repaître toi aussi. Ton homme se branle toujours. C'est ta bouche que je vais lui donner. Ta bouche grande ouverte et ta gorge au lointain. Parce qu'elle est immense sa queue, parce que tu vas le sucer comme il lui plaira. Et je t'aiderai. Tu veux ? Brave petite fille. Je ne suis pas venu sans rien. Je dénoue ma cravate. Bleu marine et des points de couleurs. Je te prends les mains avec délicatesse, les positionne dans ton dos, fait glisser le tissu soyeux sur tes poignets. Tu te repais de cette douceur, les yeux rivés dans ceux de ton homme. Je serre, fort. Tu pousses un petit cri de désapprobation. C'est ça, joue les petites chattes effarouchées. Je serre plus fort encore et tu te fais miaulement de plaisirs. Brave petite fille. Il est temps de t'offrir à lui. Il tient sa queue droite, bien plantée, avachi sur le canapé. Et toi tu te penches. Et toi tu le suces, aussi inconfortable que cela puisse être, tu lui offres la douceur de ta bouche. Ma main droite est posée sur tes poignets liés. Ma main gauche prend tes cheveux pour qu'ils ne deviennent pas désobligeants. Et je te fais sucer autant que tu suces, autant qu'il te baise la bouche, arrosant ton cul ça et là de belles claques rougeoyantes. Brave petite fille.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
Commentaires
Enregistrer un commentaire