J'assiste à un spectacle où joue quelqu'un que je connais. Pour aider, je décide d'aller chercher un objet nécessaire au bon déroulement du spectacle. Une femme âgée m'accompagne dans les méandres du théâtre. Nous arrivons en bas du bâtiment, moderne, sa façade forme de belles couleurs et renvoie une lumière chaude, elle s'étend sur plusieurs étages, une dizaine peut être. Je suis très impressionné par la perspective architecturale qui s'offre à ma vue depuis ce petit jardin secret. Nous entrons dans la partie basse du batiment, c'est sa maison. Elle est lumineuse, luxueuse. Nous nous installons dans le salon. Nous sommes assis l'un à côté de l'autre sur le canapé. Je suis très touché par sa présence. Je la trouve belle, très belle malgré ses rides. Je prends l'initiative de l'embrasser. Elle répond à mon baiser. Sa langue est surprenante et vive. Puis elle cesse le baiser subitement et se met à pleurer. Je ne me sens pas rejeté. Je lui offre toute ma présence. Elle me parle. Mes mains parcourent son corps, découvrent ses cicatrices, un incendie qui l'a un jour dévoré. Je ne suis pas rebuté, je la trouve encore plus immensément belle. Je la caresse, la masse, mettant de côté le désir bien que très présent. Des amis à elle rentrent dans la pièce. Elle doit partir, ils doivent partir. Il y a une urgence. Je l'accompagne jusqu'à sa voiture. Elle part. Nous sommes liés.
Dans la clarté de la nuit des songes en nuées là la Malemort où je ne sais quoi sort s'étire et s'enchâsse s'enlace jusque sous ta gorge griffant mordant soufflant le chaud et le froid sur la peau fine écarlate prête à geindre en mille éclats de lunes en ta face putasse ta queue branlée tes bourses lourdes mises à mal pour le long voyage la malle poste et ta tête branlante riposte étouffe entre les cuisses la douceur de la peau le tendre abrasé par ta barbe impropre parsemée de l'odeur forte de son con tant de fois baisé sous le lit des pinèdes qui là te font suffoquer ahaner en grande goulée giboulée et bâillon de bave embrassées nage nage petit poisson poisseux visqueuse bite guerre de tranchée perdue avant que la messe ne soit dite car l'avant fut fessé pris engouffré pénétré fouetté mâle mené foutraqué fourré comme jamais quatorze queues putargues avalées pour te voir plus tard t'affaler offert lustré ta sueur suie blanche crasseuse épaisseur criante et ton
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