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Des musiques impudiques

 Il y a des musiques qui forment comme des parties de moi. Non pas qu'elles aient nécessairement été un décor sonore lié à des moments de vie, non pas comme ça. Mais des musiques qui me donnent l'impression qu'elles parlent de moi. Ou peut être vibrent elles seulement en moi sans parler de moi. A moins que je ne veuille seulement m'approcher de ce moi là. Allez savoir.


Me voici donc au comble de l'impudeur, dans le désordre, et dans les limites de ce qui émerge ce soir :


Patrick Watson - Je te laisserai des mots (https://deezer.page.link/APWRqiWbpF2zA8QL8)

Ben Mazué - La liesse est lovée (https://deezer.page.link/rNgujK9qhrRgZezp6)

Michael Kiwanuka - Cold little Heart (https://deezer.page.link/9ZnmtQRFVAqA99iJ9)

Jean-Philippe Goude - No Hay camino, hay que caminar (https://deezer.page.link/pX8BKTjWJiuL9i9o6)

René Aubry - La grande cascade (https://deezer.page.link/g2QH3mZTufZRRQUy7)

The cinematic orchestra - To build a home (https://deezer.page.link/wX4RNu6wBWNhL9gNA)

Ben Mazué - Gaffe aux autres (https://deezer.page.link/5zHeut6LgQLGaP9m9)

Ben Mazué - L'homme modeste (https://deezer.page.link/wBYWD6raMjRy7P6KA)


Traces musicales à compléter, raturer, digérer un jour, plus tard.

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