Saurai-je vous faire lâcher prise ? Je vous laisserai répondre à cette question le moment venu, lorsque vous vous serez égarée sans détour à la lecture des lettres qui défileront pour vous devant vos yeux.
Un petit B gravé sur votre hanche, frissons éphémère mais certain
Je glisse un A dans votre main, secret à faire croitre main dans la main
Un minuscule I sur vos lèvres, petit signe de haut en bas se prolongeant toujours plus bas
Maintenant le tour du S, celui qui enserre, qui fait sien de bout en bout, ici sur votre coeur, petit battement, arythmie mélodieuse,
Un E, raide, radical, masculin car Elle ne va pas sans lui
Je crois maintenant que c'est le tour du R, celui qui marque mon sceau, une cire brulante toujours espérée, là sur le bas de vos reins, oui tendez le, que la cire prenne toute sa dimension
Et retour au S, qui fait sien votre bassin, qui enveloppe, prise certaine, assurée, mienne
Je glisse un A dans votre main, secret à faire croitre main dans la main
Un minuscule I sur vos lèvres, petit signe de haut en bas se prolongeant toujours plus bas
Maintenant le tour du S, celui qui enserre, qui fait sien de bout en bout, ici sur votre coeur, petit battement, arythmie mélodieuse,
Un E, raide, radical, masculin car Elle ne va pas sans lui
Je crois maintenant que c'est le tour du R, celui qui marque mon sceau, une cire brulante toujours espérée, là sur le bas de vos reins, oui tendez le, que la cire prenne toute sa dimension
Et retour au S, qui fait sien votre bassin, qui enveloppe, prise certaine, assurée, mienne
Des interrogations ? alors je ponctue par le point, histoire de les faire fuir, d'éclairer vos cieux et libérer vos mots. Voilà mon voeux, je vous l'offre.
R.
Le B me va si bien qu'il s'imprime sans délai
Vient le rejoindre le R de votre sceau au creux de mes reins qui se dresser et cherche la caresse
Mon corps alors pour mieux offrir ces rondeurs dessine un U à moins que ce ne soit,
Plié sous votre férule, un L qui le casse en deux
Non je crois bien que c'est un U qui le replie
tandis que la badine fend l'aiR d'un sifflement à peine perceptible
Et emporte ma raison, faisant naître par ce E radical une nouvelle Elle
Car vous avez raison, il n'y a pas d'elle sans Lui qui enlace d'un S final puissant comme des serres.
Certaines sont si douces qu'on en redemande...
Vient le rejoindre le R de votre sceau au creux de mes reins qui se dresser et cherche la caresse
Mon corps alors pour mieux offrir ces rondeurs dessine un U à moins que ce ne soit,
Plié sous votre férule, un L qui le casse en deux
Non je crois bien que c'est un U qui le replie
tandis que la badine fend l'aiR d'un sifflement à peine perceptible
Et emporte ma raison, faisant naître par ce E radical une nouvelle Elle
Car vous avez raison, il n'y a pas d'elle sans Lui qui enlace d'un S final puissant comme des serres.
Certaines sont si douces qu'on en redemande...
B.
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