Parfois, j'aimerais que tu me baises, que tu me prennes, que tu ne me demandes pas ton reste. Tu vois. Que tu puisses me traiter de salope, de chienne, de petit toutou à la queue raide, de tous les mots que tu pourrais inventer comme moi parfois je sais faire. Je te sourirais, tout à la douceur de ce que tu me fais, envahi par le silence, la plénitude du plaisir, ta bouche officiant sur mon sexe, ta langue sur mon gland, ta bouche jouant de mes bourses, et tu me ferais mal aussi. Oui, tu me ferais mal. J'aurais mal à sentir mes couilles vrillées, aspirées, sous pression. Je me tordrais en tous sens. Et au lieu de me demander pardon, tu insisterais. Tu vois. Parfois, je désire que tu serres mes couilles. Je dis parfois, mais c’est de plus en plus souvent. En fait, je voudrais que tu me malmènes, que tu te redresses, ta main toujours enserrant mes bourses, ta main maltraitant ma hampe. Et tu me regarderais. Les yeux fichés en moi. Et ta main finirait par voler sur ma joue. Une b